Glory holes - Histoires de Sexe

Glory holes

... sens le plaisir arriver au galop, ma queue se gonfle dans sa bouche, mon cœur s’emballe, je vais jouir, Anna le sent, elle accélère sa fellation. Je m’appuie contre le mur, et je me libère dans cette bouche si chaude, en criant de plaisir. À côté de moi, Laurent est en transe, je vois son bassin qui va-et-vient doucement, il se met à crier lui aussi, ça dure longtemps. Il se vide dans une bouche accueillante… celle de ma femme. Nous restons là, Laurent et moi, groggy, la tête vide, reprenant lentement nos esprits, mais heureux. Puis nous rajustons nos serviettes, et nous nous dirigeons vers la porte de la salle où se sont enfermées nos femmes. La porte s’ouvre au bout d’un bon moment, et nous les voyons sortir toutes les deux, se tenant par la main, souriantes et complices. Monica vient m’embrasser, je lui rends son baiser du bout des lèvres, Laurent fait de même. Nous leur proposons d’aller boire un verre, ça devrait leur rafraîchir l’haleine… Nous remontons au bar en suivant les femmes, qui rigolent entre elles. Monica a mal remis sa serviette, enfin mal c’est selon, on voit bien le bas de ses fesses quand elle marche, et Laurent a l’air aussi intéressé que moi. Il me glisse à l’oreille : — Tu as une idée de ce qu’elles leur ont fait aux autres gars ? Il ne vaut mieux pas qu’on le sache, tu ne crois pas ?— Tu as raison, je ne suis pas jaloux que nos femmes nous aient échangés toi et moi, au contraire ça m’a excité, mais pour les autres ça ne me va pas trop.— Moi, c’est ...

... pareil. Nous arrivons au bar, et d’autorité nous commandons des Get 27 pour tout le monde. Nous prenons nos verres et nous retournons nous asseoir sur le canapé. Les femmes ont l’air rêveur, ça nous inquiète un peu, mais on a décidé de ne rien leur demander. Je regarde Monica, perdue dans ses pensées. oOo Monica : — Anna est complètement folle, je n’aurais jamais dû accepter sa proposition, et Rémy qui a dit oui, je me suis fait piéger.— Monica, tu fermes la porte s’il te plaît, moi je regarde un peu la pièce. Les hommes sont sortis, je referme et j’entends vaguement une sonnerie, derrière la porte. Presque aussitôt, les quatre trous disparaissent à nos yeux, ils ont éteint la lumière de l’autre côté ? Puis Anna se rapproche, pousse un petit cri et m’appelle : — Monica, regarde qui vient dîner ce soir ! Je m’approche des trous, et dans la pénombre, je distingue un membre dans chaque trou. — Deux hommes, quatre verges, y aurait pas un souci quelque part ? je demande.— À mon avis ils se sont fait des copains, nos deux affreux, et regarde celui-là, on dirait un gourdin, il est énorme… ! À ma stupéfaction, je regarde ce que me montre Anna, et je n’en crois pas mes yeux. Cette verge est impressionnante, je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, elle doit faire pas loin d’une trentaine de centimètres de long, et le diamètre, j’en parle même pas ! Anna est hypnotisée, je la vois avancer sa main, elle commence à caresser ce membre, qui à l’air de grossir encore. — Viens la toucher, me souffle ...