1. Les malheurs de Gustave (5)


    Datte: 11/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... n’arrive pas à me contrôler. Je suis obligée de me ressortir pour que tu puisses m’apprêter bien la turbine. Gustave, viens me licher depuis en bas en même temps, vous vous retrouverez en face l’un de l’autre avec ton père. – C’est tordu ton affaire Nelly dit Gustave, je n’étais pas si mal, mais bon, en attendant, si on est en 69 pour quoi pas. Nelly léchée de part et d’autre sent gentiment monter sa température et d’un coup, devant la particularité de la situation subit un orgasme dévastateur. – Oups, continuez mes amours, c’est trop délicieux. Encore. Auguste qui commençait à avoir des crampes à la langue, – Je crois que maintenant, c’est bien mouillé. Je mets encore 2 doigts pour assouplir et cela devrait aller. – Pas besoin des deux doigts, Gustave m’a déjà alésé à un diamètre bien supérieur. – Bon alors on y va pour cette chevauchée dit Auguste qui a bien envie de tremper pour une fois son biscuit dans le fion de sa femme. Ainsi installés les trois s’en donnent à coeur joie, Gustave sent toujours un très grand plaisir à venir caresser les ovaires de sa mère avec sa queue. Le père, qui est dessous, passe son temps à branler le clito de Nelly qui ne sent plus de plaisirs tellement il est grand. Avoir le père et le fils qui la bourrent simultanément, il ne lui reste plus qu’à inviter le saint esprit pour réaliser la trinité complète. Le père, à force de sentir son fils qui lui masse la queue, à travers la paroi séparant le vagin au colon, explose et inonde les intestins à ...
    ... Nelly et prévient de ce fait tout risque prochain de constipation. Lentement, il décule en laissant les deux amants continuer leurs accouplements. Il regarde le fion de sa femme qui se referme lentement, d’une part par la poussée permanente de son fils et par les muscles fessiers. Un filet de crème commence à sourdre à l’orifice. – Auguste, tu peux me lécher encore le trou du cul, cela te donnera une idée de ce que tu imposes à ta secrétaire et à toutes tes conquêtes que tu obliges de se régaler de ton sperme. – Oui ma biche tout de suite. Brrrr c’est pas terrible, comme entremet, j’ai déjà goûter du meilleur, le mélange des restes de tes boyaux et de mon sperme n’est pas fabuleux. – Insiste, je suis en train de partir. Répond Nelly – Moi aussi, annonce Gustave, qui commence à avoir la respiration haletante. Si tu veux, tu peux en goûter du meilleure si Nelly le permet. – Oui, je n’avais pas pensé que le mélange soit infect, je sais que son sperme n’a pas bon goût, mais mélangé à des débris d’étron, cela ne doit vraiment pas être appétissant. Gustave sort sa bite de l’antre de sa mère et la met dans la bouche de son père et se branle dedans le plus fort possible : – Tiens déguste la bonne crème de couille de ton fils. Auguste devant l’ouverture des vannes a de la peine à avaler au fur et à mesure ce raz de marée. – Elle a bon goût ta semoule de rupettes. Annonce-t-il. – Et moi râle Nelly, je ne suis pas arrivée à conclusion. – Si papa continue à bien me licher, t’inquiète, je ...