1. Humanité


    Datte: 12/01/2019, Catégories: fh, ff, grp, fbi, jeunes, couple, vacances, plage, piscine, bain, forêt, douche, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    ... voisins de chambre ne pouvaient ignorer ce que nous faisions. Heureusement, nos respirations, nos chuintements et autres bruissements se mêlaient aux leurs. Au petit déjeuner, il ne fallait pas se formaliser d’une queue gonflée, voire tendue, résidu de rêves érotiques provoquant des érections matutinales. Sans compter qu’avant le lever, les réveils étaient rarement chastes. J’acceptai ces us et coutumes et y adhérai même. Il était fréquent, le soir, sur la terrasse, dans l’obscurité de la nuit tombante, que Pascal me caresse la poitrine devant les amis de notre logis. Moi, à demi couchée sur lui, je sentais dans mon dos son sexe se tendre, et par un léger déplacement, en toute discrétion je libérais cette arme d’amour pour la branler. Nos amis en faisaient de même. Lorsque nous voulions aller plus loin, nous rejoignions nos chambres. Mon chéri, dans ces moments-là, ne cherchait plus à dissimuler son sexe tendu de désir à nos acolytes. Tout cela restait bon enfant. Je crois que l’une des choses qui me plut le plus, c’est de pouvoir vivre continuellement nue avec des hommes et des femmes sans aucune tension sexuelle. L’activité sexuelle de chacun était importante, voire primordiale, mais elle ne déviait jamais sur le libertinage. De voir les autres couples se baisoter, se caresser, ne constituait même pas de l’exhibition ou du voyeurisme. Notre périple naturiste nous a portés sur les côtes atlantique et méditerranéenne. De retour sur terre, nous avons pu goûter une nouvelle ...
    ... fois à la « randonue » dans le cadre magnifique des Calanques. Puis un passage sur l’île du Levant, une sorte de paradis insulaire où l’on peut être à poil du matin au soir, se promener sur un territoire très vaste. Ainsi, je ne ressentis nullement l’enfermement qui parfois m’oppressait dans certains centres. Il fallait juste éviter le port côtier. Il se produisit tout de même un fait sortant de l’ordinaire durant un séjour chez des amis de Pascal. Nous y étions trois couples, et un matin les trois hommes et une des femmes avaient décidé de partir une bonne partie de la journée pour visiter l’arrière-pays. Ils devaient nous rejoindre en fin d’après-midi. Dès après leur départ, Fabienne, notre hôtesse, est venue me rejoindre dans ma chambre. Elle se trouvait dans le contre-jour comme une apparition. Je l’ai accueillie avec plaisir à mes côtés sur mon lit. Comme j’aimais sa compagnie, cela me semblait naturel. Dans la promiscuité de ma couche, nos corps étaient au contact l’un de l’autre. Elle a alors commencé à me caresser le dos, comme un massage bienfaisant. Puis ses mains sont venues sur mes seins, les effleurant d’abord avant de les masser délicieusement. Sa bouche vint baiser les pointes et les lécha, me procurant des sensations exquises. Ne voulant pas être seulement passive, je pris moi aussi ses seins en main. Nous nous regardâmes, les yeux brillants, et nous avons continué le branle mutuel de nos poitrines tout en échangeant des baisers à pleine bouche. Progressivement, ...
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