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Mon pote peintre (1)
Datte: 12/01/2019, Catégories: Gay
... air vicieux. Je ne savais quoi dire, ma vue est redescendue vers son sexe qui, j’en étais désormais certain, se dressait fièrement à travers le tissu. hjshaabl Je n’ai plus pu me retenir, j’ai ouvert la bouche pour la poser sur le tissu tendu et léchait sa zone intime. Je n’osais pas relever les yeux. Il a lui-même baissé son pantalon, il ne portait pas de sous-vêtements, et sa queue s’offrait ainsi à moi. J’ai sorti ma langue pour lécher son magnifique sexe, je suis redescendu vers ses deux testicules puis suis remonté vers son gland circoncis. J’ai ensuite gobé sa queue pour lui prodiguer une bonne pipe avec mon savoir-faire reconnu. Ma langue caressait son gland pendant que je faisais des va-et-vient avec ma tête. J’alternais les vitesses et quelques gémissements de sa part m’encourageaient à y aller de plus belle. Une main caressait ses couilles, l’autre s’agrippait à une de ses fesses pour y donner encore plus d’entrain. Dix minutes de ce traitement plus tard, j’entendais son souffle s’accélérer et comprenait bien que son éjaculation était proche. Lorsque j’ai entendu sa voix dire qu’il allait jouir, j’ai eu à peine le temps de me retirer et me suis pris une douche de son jus sur le visage. J’ignorais si cette quantité était habituelle chez lui mais on peut dire lorsque je me suis retourné vers un miroir dans la pièce, j’avais la face bien repeinte de son liquide chaud et bien blanc. J’ai été chercher un essuie-tout pour nettoyer mon visage, j’entendais mon pote ...
... prendre de l’essuie-tout pour se frotter les quelques gouttes restées sur son gland. Lorsque je suis revenu dans la pièce, j’étais gêné et ne savais pas que dire. Jérôme qui avait remis son pantalon en place m’a regardé en disant tout simplement qu’on reprenait le travail. L’après-midi s’est déroulée tout à fait normalement et aucun de nous deux n’a reparlé de cela. Le soir, il s’est douché et m’a ensuite dit qu’il ne tarderait pas à aller dormir pour être en forme le lendemain. Je lui ai donc montré la chambre d’amis et l’ai laissé s’installer. Sur mon lit, mon esprit fantasmait à le rejoindre mais la raison me poussait à rester en place. Le sommeil me gagnait peu à peu et j’entendais Jérôme se retourner encore et encore dans son lit. J’ai fini par fermer les yeux lorsque dans un état second j’ai senti une main me réveiller. Jérôme était là debout, le sexe à nouveau bien bandé et me dit naturellement « On a qu’une vie ». J’ai bien compris l’invitation et ne me suis pas fait prier pour le sucer à nouveau. Jérôme s’est ensuite positionné à califourchon sur mon torse, m’a tenu la tête et m’a baisé la bouche sans violence mais en insistant bien pour aller au fond de ma gorge. Il m’a ensuite demandé si j’avais une capote devinant bien ses intentions. Je lui ai montré le tiroir de la table de nuit, ne pouvant pas parler la bouche pleine. Il a sorti le lubrifiant puis m’a demandé de me mettre à quatre pattes. Il a appliqué une bonne dose toute froide du lubrifiant et sans ménagement a ...