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18 Maîtres Ch. 03
Datte: 12/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme
... Je ne sais pas quel lien ils avaient, si c'était une habitude ou une punition pour quelque chose qu'elle avait fait. Je ne sais pas si elle a aimé. Et je ne sais même pas si elle avait un mot de sécurité. Chris se lève en me regardant droit dans les yeux et il me demande : - Si je faisais cela avec toi, si je t'emmenais dans une telle situation, que ferais-tu? Je frissonne à l'idée d'une multitude d'hommes faisant la queue pour me baiser. Je reste silencieuse pendant une minute. - Alors? Insiste-t-il. - Je... Ont-ils... Ont-ils utilisé des préservatifs? - Certains l'ont fait, mais la plupart non. Pourquoi? Je baisse les yeux. - Ça ne semble pas sur Maître. Je veux dire pour les maladies. Est-ce qu'il s'assurait qu'il ne se passe rien de mal? Je le regarde dans les yeux. - Je veux dire que si j'étais dans cette situation, je voudrais être sûre d'être en sécurité. - Donc tu as bien un instinct d'auto-préservation. Donc même si ça me rendait heureux de te lancer comme ça dans une foule, tu n'irais pas aussi loin? - J'aime ça Maître. J'aime énormément ça. Même les moments où ça me plaît moins, j'aime s'il y a du sens. Mais il doit y avoir de la sécurité. C'est la raison pour laquelle j'ai choisi votre groupe. Même avec tant d'hommes, vous m'avez dit clairement que je serai en sécurité, comme avec les mots de sécurité ou la petite lampe ...
... que je peux allumer quand je suis bâillonnée. Si je sais que je suis en sécurité, je peux vous laisser faire n'importe quoi. - Mmmmm. Il hoche la tête. Il se déplace pour mieux voir mes fesses. Je sens ses doigts passer sur les marques qu'il m'a faites. Je grimace un peu. - Tu vas avoir de grosses contusions ici. Je souris. J'aime la pensée de devoir porter les marques qu'il m'a infligées. - Il faut que je me vide avant de te renvoyer chez toi. Où veux-tu que je le fasse? - Où vous voulez Maître! Il me tourne et pénètre ma chatte d'un seul coup, me faisant grimacer. Mon sexe est presque à vif après toutes ces bites. Il ne montre aucune pitié et me pilonne jusqu'à ce qu'il soit à bout de souffle. A la dernière seconde il se retire et gicle sa semence sur mon visage et ma poitrine. - Dehors maintenant! Il me soulève hors du lit. Je grimace un peu de douleur, du foutre coulant sur mon visage. - Va-t'en comme tu es venue! Je me déplace à quatre pattes, sur mes mains et mes genoux encore endoloris. Je sens le sperme sur mon visage. J'essaie d'aller le plus vite possible pour le suivre, descendre l'escalier et me diriger vers la porte d'entrée. - Ne te lave pas avant le matin salope! Je veux que tu rêves de nous alors que tu dors dans des draps souillés. - Oui Maître. Il ouvre la porte et je sors nue, à quatre pattes, dans la nuit. A suivre...