1. Le cadeau de mariage 1


    Datte: 13/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... n’avait jamais eu le courage de s’interposer pour prendre sa défense. Pour eux, il ne la méritait pas, mais Agnès l’aimait ainsi et savait éconduire tous ces vautours ! A peine plus grand que sa dulcinée, quelque peu chétif, il affiche peu du mâle protecteur. Cependant une conviction l’habitait : il pourrait mourir pour elle. Mais en mal d’assurance en lui, il vivait chaque jour avec la peur au ventre de la perdre mais surtout de la voir s’épanouir dans les bras d’un autre garçon. Leur idylle est des plus romanesque, partageant les mêmes goûts. Ils aiment la musique classique, le jazz celle de leur âge mais également les artistes de variété chantant l’amour et la liberté. Ensemble ils partagent une passion commune pour le cinéma néo-réaliste italien. Chacun dans sa chambre a placardé aux murs, les mêmes affiches ou portraits de leurs héros. Une passion à l’unisson ! Malgré leur jeunesse, personne n’a trouvé à redire quand ils ont annoncé leur volonté d’unir leurs vies si tôt. Ils se promirent des noces dont le seul faste serait le romantisme. Peu fortunés, leurs parents, de milieu modeste, savent qu’ils investiront le peu de leurs économies pour faire malgré tout de cette fête, un souvenir pour tous impérissable. Bien sûr, encore vierges tous les deux, l’éveil des sens les a rattrapés et les a amenés à des flirts de plus en plus poussés. Souvent, quand ils se retrouvent seuls chez l’un ou chez l’autre, elle se laisse mettre nue. Il reste des heures à contempler son corps ...
    ... sublime. Petit à petit il avait fini par la caresser, et cela le mettait dans des états tels qu’ils avaient de plus en plus de difficulté à respecter leur engagement. De son côté Agnès aimait beaucoup prendre le sexe mâle de son fiancé dans ses mains pour le caresser longuement. Et quand il finissait par jouir et éjaculer dans ses mains, elle était submergée de bonheur d’avoir donné du plaisir à son amour. Lui, n’avait jamais osé aller jusqu’à pénétrer son sexe de ses doigts, car elle l’avait mis en garde sur la fragilité de son hymen qu’elle souhaitait conserver intact pour lui. Il adorait pourtant s’allonger à ses côtés, sa tête reposant sur son ventre. Il prenait plaisir à sentir les effluves libérés par son sexe quand, délicatement, il passait ses doigts dans les poils du fin duvet de la toison de son pubis, dont la pointe du triangle se prolongeait, comme une invitation à poursuivre, par les fines lèvres luisantes de son sexe. Il restait en contemplation devant ces lèvres, de couleur rose, qui devenaient rouges turgescentes, gonflées de sang, quand il les effleurait amoureusement pour faire sourdre ce liquide qui signait l’aboutissement du plaisir de sa douce. Ces derniers temps ces soirées se prolongeaient par de longs baisers durant lesquelles ils ressentaient tous les deux la fougue et la force de leur bonheur. Un bonheur non seulement guidé par des sentiments du cœur, mais aussi par la folie des sens, celle qui fait perdre la tête. A l’initiative de la jeune fille, tous ...