1. Elle


    Datte: 13/01/2019, Catégories: f, ff, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69,

    Elle est arrivée sans bruit derrière moi. J’ai ressenti son ombre qui m’a caché le soleil un instant, et elle a posé sur le sable sa petite robe sous laquelle il n’y avait rien. Le contre-jour m’empêchait de distinguer correctement son anatomie, mais ses formes m’ont tout de suite procuré un je ne sais quoi dans le bas-ventre qui me rappelait quelque chose… Il y a encore une semaine, je découvrais un monde de sensualité dans les bras de Corinne et d’Héloïse, un début de perversité dans ceux de Sylvie, et l’abandon dans les bras de certains garçons qui n’étaient que de jolies couleurs dans la palette de ce qui m’arrivait. Elle s’est appuyée d’une main contre un rocher comme si c’était une barre de danse et a commencé à faire des assouplissements divers. Je voyais son corps assombri par la lumière qui éclairait, en fond, une plage rehaussée d’une mer d’un bleu intense. Tantôt je voyais un pied remonter dans le bleu, tantôt la courbe d’une fesse, celle d’un sein léger, aussi léger que l’était sa grâce à se mouvoir dans l’espace. Mais qu’est-ce qu’elle faisait là ? Cela faisait quelques jours que je farnientais dans cette crique du fond d’Hydra, île de la mer Égée, où les touristes de passage ne s’aventuraient pas de peur de ne pas retrouver leur bateau pour rentrer à Athènes le soir. Jamais personne. Si bien que j’avais fini par venir chaque jour et prendre mes aises avec mes tenues de plage qui se réduisaient finalement au minimum, c’est-à-dire rien ! J’adorais mon abandon au ...
    ... soleil, à la nature et à la mer qui me reluquait depuis plusieurs jours en me disant « Viens ! ». Et chaque jour, esclave de Poséidon, je passais de la plage à la mer, de la mer à la plage. Le reste du temps, à l’ombre d’un parasol indispensable pour ne pas mourir desséchée, je lisais et je repensais à mes semaines de colo et à tout ce qui s’y était passé (là, je suis obligée, comme dans Tintin, de dire : « Voir épisodes précédents intitulésLa colo. » !). Autant dire que cela finissait par me liquéfier, et plus d’une fois mes mains apaisèrent mes sens après avoir vérifié qu’il n’y avait personne que cela puisse gêner. Or, il n’y avait justement jamais personne ! Une fois, je me suis livrée à mille plaisirs en me baignant avec le gilet de sauvetage que j’avais trouvé dans la location et qui me servait d’oreiller. Flottant dans une eau à presque température du corps, je me livrai à tous les attouchements que me permettait cet état libre, une main glissant le long de mon ventre, l’autre dans mon dos, et chacune trouvant un orifice accueillant qui me faisait vibrer tant je les explorais. Je découvrais à ce moment la masturbation anale que je n’avais pas encore tentée. Mais les souvenirs d’autres doigts, de sexes tendus et de bouches qui s’étaient aventurés là me donnèrent l’envie de partir dans ces explorations solitaires inconnues qui me firent découvrir des plaisirs dont seule j’avais le contrôle, seule au milieu de la mer, seule près de la plage, seule avec moi, seule avec mon ...
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