1. Charline


    Datte: 13/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Charline est ma coiffeuse depuis 4 ans. Elle me coiffe depuis le début de son apprentissage en 2011. Jolie brune, fine et élancée, elle s’occupe de moi avec talent et douceur. Corinne, sa patronne lui laisse le salon en toute confiance lors de ses congés et un jour sur deux elle ferme la boutique. Ce soir c’est son tour. Je lui ai téléphoné hier pour obtenir un rendez-vous afin de me faire couper les cheveux comme d’habitude. J’ai réussi à lui arracher de me recevoir à 19h00, privilège rare qu’elle n’accorde généralement pas. Il faut dire que je l’ai suppliée car je pars en catastrophe demain pour un déplacement sur Paris. - « C’est bien parce que vous êtes un très bon client et que vous êtes très gentil ! À demain ! »ajoute-t-elle avant de raccrocher. C’est vrai que je ne suis pas exigeant et que je suis généreux avec elle. Je n’oublie jamais la petite soucoupe en partant et la gratifie de conséquents pourboires. Je sais que je suis un peu vieux pour elle, mais elle me trouve charmant avec mes habitudes de monsieur très courtois et un peu « vieille France ». Elle a 23 ans à peu près, un « ami » et un jeune bambin qui s’appelle Axel. Je les ai croisés tous les trois au marché il y a peu. Son mec est assez quelconque mais sympa et travaille comme vendeur dans je ne sais trop quoi. J’avoue à ma grande honte que j’ai quelques pensées lubriques lorsqu’elle s’occupe de moi. Elle pourrait être ma fille mais, j’adore ses doigts fins qui courent dans mes cheveux lors du shampooing ...
    ... et je raffole de sentir ses mains se poser sur ma joue au moment de me raccourcir les pattes. Mais ce que je préfère c’est quand elle m’attire vers elle après m’avoir installé sur le fauteuil et qu’elle me saisit le crâne pour commencer son travail. Je fais exprès de me pencher en avant à chaque fois pour que ce contact dure ne serait-ce qu’un millième de seconde de plus et je me détends complètement pour parfois frôler sa poitrine. Ce soir elle s’occupe de moi aussi bien que d’habitude. Elle est habillée très simplement : un pantalon slim qui gaine ses jolies jambes et un tee-shirt noir assez moulant, des ballerines assorties. Elle fermera dans quelques minutes. Il fait nuit et froid. La buée trouble la vue que nous avons de la rue déserte. Elle applique un peu de cire sur mes cheveux en guise de finition quand le téléphone sonne. À cette heure ce ne peut-être que son « ami » ... Je la sens très déçue quand elle raccroche et je lui demande ce qui ne va pas : - « Kevin sera en retard d’une demi-heure pour venir me chercher. Ça ne m’arrange pas du tout car depuis une semaine une bande de « petits cons » rode dans le quartier et je préfèrerai ne pas fermer seule. » - « Je vais rester le temps qu’il arrive si vous voulez ! » Lancé-je spontanément. - « C’est super gentil, vous êtes trop mignon vraiment. Ça ne vous dérange pas ? » - « Au contraire, nous allons passer un bon moment à parler en l’attendant. » Charline disparaît dans l’arrière boutique, se saisit de son portable et ...
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