1. Une promotion


    Datte: 14/01/2019, Catégories: fhh, hbi, Collègues / Travail hsoumis, miroir, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession, extraconj,

    ... mon anus. Le gland synthétique, mais très bien imité, se charge de les étaler. Je bande déjà. Elle m’a sucé, juste un peu, juste pour que ma bite soit dure et brille de sa salive. Elle me fait écarter les cuisses, poussant des mains afin que la lopette que je suis s’offre totalement. — Mummmm. C’est moi qui accompagne de la voix, ce qui me possède. C’est le plus gros de sa panoplie. Mon cul ne proteste même plus de cet engin. Il s’est fait, jour après jour, gode après gode, dans la solitude de ma maison alors qu’Adèle est absente et dans la perversité pendant la journée à Paris où Sandrine me demande de porter un plug pour mieux m’ouvrir. Elle bouge. Elle bouge et alors que le gode déclenche de délicieux frissons, sa main me branle en cadence. Une main me branle, l’autre presse mes couilles dans un geste de possession. Oui, la possession est totale, multiple, autant physique que mentale. Je ne suis plus rien. Je m’offre comme la dernière des salopes et celle qui me ramone le cul est bien plus qu’une amante, plus qu’une maîtresse, la directrice de mon plaisir. Ce sont mes fesses qui claquent sous les coups de boutoirs de cette dominatrice. Le miroir, devenu au fil des jeudis, le témoin de ma lente déchéance, pourrait dire pourtant, que si j’ai été encouragé, j’ai moi-même choisi ce destin. Et c’est bon. Top bon. Ce mandrin de plastique qui décuple mon érection. Cette main qui me branle. L’autre qui me pressure les couilles comme on écrase une grappe de raison pour en ...
    ... extraire le jus et ce jus qui… Il jaillit. Chaque fois je suis surpris par la violence de ces jets qui expulsent ce foutre gras jusqu’à mon visage. Un foutre que Sandrine se charge de me faire déguster après, ajoutant de l’obscénité à la perversité. Elle m’écrase de tout son poids. Voilà ce que ressent la femme lorsque l’homme qui a joui s’allonge sur elle. Je sens toujours le mandrin en moi. Il est toujours vaillant, lui… — Tu racontes tout ça à Pierre lorsqu’il revient ? J’ai dépassé avec elle le stade de la dignité. Nous partageons les mêmes plaisirs. Mais son mari ? Que pense-t-il de moi si elle le tient informé dans le détail ? Mais ne le serait-il pas de toute façon en voyant les jouets sortis ? — Non, pas spécialement.— Alors il ne sait pas vraiment.— Si, bien sûr que si. Tu te souviens que nous ne nous cachons rien.— Je sais, mais alors comment il… ?— Il regarde… Elle fait un geste vers le mur. — Quoi ?— Par le miroir.— Euh…— Il est derrière le miroir. Il voit comme s’il était avec nous. Je suis à peine étonné. C’est comme si mon subconscient avait choisi de me cacher ce qui semblait une évidence. Oh, pas les premières fois, mais par la suite, ce miroir omniprésent, témoin de nos jeux, vers lequel nous nous tournions pour mieux profiter de ce que nous faisions. Se voir ainsi, à quatre pattes, un gode activé par sa maîtresse ou allongé les jambes relevées comme une femelle alors que Sandrine me bourre le cul ! Oui se voir, même en position indigne, pire humiliante, ne fait ...
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