1. Une promotion


    Datte: 14/01/2019, Catégories: fhh, hbi, Collègues / Travail hsoumis, miroir, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession, extraconj,

    ... mes fantasmes ne font qu’empirer et me hantent. Alice ? Où est-ce que j’ai été chercher tout ça ? C’est dingue, mais j’ai l’impression d’avoir somatisé tout ce que j’ai vécu en rêve. Je suis fourbu. Décidément, une nuit peuplée de rêve n’est pas reposante. J’ai même mal à la mâchoire. Tout de même, à ce point. Même mes fesses se souviennent. Il va falloir que je consulte ou que j’arrête cette liaison qui me travaille tant. Ce n’est pas normal d’être en manque à ce point. Il faut que je me calme. Heureusement que je ne suis pas à la maison. Qui sait ce que j’ai pu dire dans mon sommeil ? Pour une fois je n’entends pas les bruits dans le couloir ou des écoulements d’eau. Il est si tôt que cela ? Pourtant une lueur passe par le rideau. On frappe à ma porte. Je n’ai pas commandé de petit déjeuner. Qu’est-ce que… — Je peux entrer ? dit une voix que je reconnais à peine. Voilà ce que c’est de trop boire. On dirait Sandrine. Sandrine… C’est bien elle qui franchit le seuil de la porte alors que je n’ai rien dit. Sandrine en nuisette. Toute guillerette. — Alors elle a bien dormi, notre petite Alice ? Ce n’est pas ma chambre. Je ne suis pas à l’hôtel. Je me souviens. Les brumes se dissipent. Je suis chez eux, à Meudon. Et tout revient. Alain ! Alice ! Je n’ai pas rêvé… ********************* Cette fois-ci, Pierre n’est pas parti. Il est resté et nous avons bavardé. Je n’ai pas vu le temps passé ni les verres de son whisky tourbé. Cette fois-ci, ils ont longuement parlé de leur parcours ...
    ... et de leur expérience. Pas étonnant que Sandrine soit aussi délurée. Si Adèle pouvait l’être autant. Non, pas autant, je ne sais pas si j’accepterais que ma femme soit si salope. — C’est tout le problème ! me dit Pierre. Il faut dépasser le stade de la jalousie, de la peur de se faire comparer à un autre. Alors seulement tout devient possible. Bien évidemment il faut que ta compagne soit dans le même état d’esprit. Encore qu’il soit possible de l’initier, mais c’est une autre voie possible. Je me souviens que c’est Sandrine qui s’est chargée de nous déshabiller. Nous l’avons enveloppée de nos corps dans une danse initiatique. Elle tenait nos bites entre ses mains. Je n’osais regarder celle de Pierre. Mais il a bien fallu que je m’y soumette. Elle nous a installés sur le canapé et commencé à nous sucer. Je m’y vois encore. Ces lèvres soulignées de rouge qui me gobent. Qui passent de ma bite à celle de son mari. De cette bouche qui s’adapte à chacun de nos mandrins. De la bosse que le gland forme sur la joue. De nos soupirs. De cette main qui remplace la bouche comme pour dire : « Ne soit pas inquiète, je reviens. « De ce doigt qui titille ma corolle et qui se crispe pour mieux caresser ma prostate. Et puis elle ne se consacre plus qu’à moi. Elle a décidé de me faire cracher. La salope sait comment faire. Combien de mâles ont juté, qui dans sa gorge, qui dans sa chatte, qui dans son cul. Elle sait utiliser les grands moyens. Elle me termine, lèvres bloquées sur mon gland, une ...
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