1. Une promotion


    Datte: 14/01/2019, Catégories: fhh, hbi, Collègues / Travail hsoumis, miroir, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession, extraconj,

    ... passer. — Il est doué.— Hein ? dit l’autre femelle à son mari.— Regarde, il bande. Il a bien aimé. Hein, mon Alain, que tu as bien aimé le sucer. J’ai honte. Quel visage je dois montrer. Je connais bien pour l’avoir souvent vu, ces visages ravagés par une fellation bien menée ! Et alors ? Pourquoi j’aurais honte. Ce n’est pas pire que de se faire prendre par une femme. Combien d’hommes le font, le quémandent, dans l’intimité du couple, dans une chambre bien fermée ? Beaucoup, mais peu le reconnaissent. C’est tabou. Malgré le changement des mœurs, le mariage pour tous, combien parlent encore de tapettes, de pédé, de gouines ? Dire un oui bien assumé est encore au-dessus de mes moyens, mais un oui de la tête suffit. — J’ai apporté de la pommade. Si c’est un peu douloureux, elle te fera du bien. La voix de Sandrine me ramène dans la chambre. En une seconde j’ai revécu la nuit dernière. Pas étonnant que j’aie mal à la mâchoire. De la crème ? Pour ? Oh ! Je me souviens. La nuit ne s’est pas terminée ainsi. ********************* C’est comme si rien ne s’était passé. Nous nous retrouvons, Pierre et moi, l’objet de toute l’attention de sa femme. Elle nous caresse. Nos deux bites sont bien raides. Lui aussi a rebandé très vite. Sandrine vient vers moi. Elle monte pour se prendre sur ma queue avec envie. Elle se remplit avec. Elle bouge, se tortille, gronde sans aucune retenue. Quelle salope ! Elle est encore plus chienne avec son mari à côté de nous. Son mari qui nous cède le canapé. ...
    ... Sa femme m’entraîne et elle s’allonge. Je la suis toujours planté en elle. De toute façon maintenant ses cuisses se font une douce prison. Elle me garde au plus profond. Je peux à peine bouger, mais c’est bon. Et puis je sens une langue chaude envahir mon anus. Elle me lèche… Non, « IL » me lèche, car ce ne peut être que son mari. Le miroir de la chambre me manque. Il était un parfait révélateur. Mais qui d’autre dans cette pièce peut me faire cette caresse si intime, peut-être la plus intime de toute, pousser sa langue dans ma rondelle. Je suis plaqué contre la femme et je couine. Personne ne peut me voir, le visage caché au creux de son épaule. Je couine et je gémis, le cul trempé et brûlant. Lorsque je sens son mandrin se frotter, je sursaute. J’ai encore l’image du monstre. Il est trop gros. Il va me déchirer. Mais la voix de Sandrine me rassure. Elle me parle comme à un enfant. — C’est rien. Tu n’auras pas mal. Il va faire attention. La pression est énorme. Je n’arrive pas à me décontracter. C’est une claque brutale sur la fesse qui me fait relâcher et aussitôt il entre, forçant mon anneau. Je n’ai pas vraiment mal. C’est plus la peur que la réalité. Bien sûr, je sens que ce qui entre est gros, qu’il me dilate, que mon ventre gonfle. Mais il me quitte. Une sensation de vide, mais qui ne dure pas. De la salive tombe, le gland la pousse, le reste suit. Il entre à nouveau. Il bouge. Il avance et recule. En un mot, il me baise. Mais chaque recul est suivi d’une avancée plus ...