Une promotion
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
fhh,
hbi,
Collègues / Travail
hsoumis,
miroir,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
hsodo,
confession,
extraconj,
... proche banlieue, Meudon. La maison est grande. Sandrine nous y accueille. Chaleureuse, avec un : — J’espère que tu n’as pas été inquiet de sa venue. Pierre peut être imposant et intimider. N’est-ce pas, Chéri ?— Je me suis fait « très gentil » , répond le mari souriant. Le « tu » inhabituel entre nous m’indique que nos rapports sont en train de changer. Je fais preuve de vérité en avouant que l’arrivée d’un mari à un de mes rendez-vous est une première. — Vous verrez c’est une autre façon d’envisager les rencontres coquines, me promet Pierre. En chemise il est encore plus imposant, mais son visage reflète la bonhomie bien que son crâne rasé lui donne un côté « sauvage » . Son whisky est une merveille. J’oublie presque la raison de ma venue alors que nous bavardons très rapidement comme de vieilles connaissances. Rien de vraiment intime dans nos échanges, plutôt du général. Et puis, l’homme se lève avec un « excusez-moi » . Je le vois disparaître du salon et revenir quelques instants plus tard, habillé et tenant une laisse à la main : — Je vais faire faire son tour à Princesse. Et me saluant il ajoute : — Bonne soirée. Je ne sais pas si nous nous verrons à mon retour. Je suis un peu interloqué. Il est vrai qu’en voiture je me posais la question de « comment » avec le mari dans les pattes. Mais en partant, il répond à ma question. Mieux à mon souhait, car si c’est le trip de certains, je ne me voyais pas accumuler les premières fois ! Première fois avec Sandrine. Première ...
... fois avec un mari voyeur ou pire encore, venant participer. La porte d’entrée à peine refermée sur la silhouette imposante, sa femme se lève et me tendant la main m’invite par : — Viens, montons. Nous montons ! À l’étage le couloir semble sans fin, mais c’est la première porte qui donne sur la chambre. Belle pièce, aménagée avec soin et la touche féminine est évidente. Ce n’est pas du « IK… ». C’est du sur-mesure avec ces portes qui montrent des rangements intégrés dans le mur. Le lit est au fond. Pas de lit de « parvenus » comme des literies rondes, non juste une belle surface plus près du carré que du rectangle. Un lit vers lequel la femme m’entraîne. Manifestement ses intentions rejoignent les miennes. Elle commence à défaire sa robe. J’attaque ma chemise. — J’ai pensé que tu aimerais le voir sur moi. Je vais dire « Le noir, c’est pour ton mari ou ton amant » , mais je me retiens. Le temps n’est plus aux paroles. Elle est magnifique. La guêpière met en valeur cette poitrine que même un tailleur au travail ne peut dissimuler. Les lobes sont des collines qui disparaissent sous la dentelle. La taille est généreuse et la courbe délicieuse. La petite culotte est un triangle noir où on aimerait disparaître comme celui des Bermudes. Les bas sont tendus par ces rubans élastiques qui, et c’est le comble de la suggestion, transforment de vulgaires bas, fussent-ils de soie, en objets du désir. — Ça te va bien, dis-je, me bataillant avec mes boutons qui refusent de s’en laisser conter.— ...