Que diable suis-je allé faire dans cette galère (5) - Histoires de Sexe

Que diable suis-je allé faire dans cette galère (5)

... faire l’amour en express mais là Sophie avait des circonstances atténuantes. Notre rapport n’a pas duré de 20 minutes j’ai quand même pu apprécier son odeur, ses formes et sa douceur, elle me laissera un excellent souvenir. Ah si Marie savait, mais en même temps je pense qu’elle savait. J’ai quand même eu le droit à une petite fellation avant son départ histoire de me nettoyer le sexe qui s’était vidé dans un préservatif. Sophie est repartie comme si de rien n’était mais elle m’a quand même fait un bisou langoureux avant de me quitter. Du coup je me retrouvais à nouveau à errer dans les coulisses habillé en femme, tout le personnel savait qui j’étais et tous les mecs en profitaient; il va de soi que mon sexe était au garde-à-vous. Puis le patron du camping m’a croisé et invité à le suivre; je l’ai suivi jusque dans une petite dépendance qui était toute calme et un peu sombre. Là il m’a expliqué que depuis le début de la semaine, il n’en pouvait plus de me voir ainsi vêtu. Il m’a saisi la nuque et s’est mis à m’embrasser, je n’ai pas su quoi faire, je n’ai pas résisté j’étais soumis, pendant ce temps avec l’autre main il libérait son sexe de belle taille. Il a pris ma main pour la mettre autour de son sexe et il m’a invité à lemasturber, cela me faisait trop drôle car pour la première fois je devenais actif dans mon rôle de femme. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis agenouillé à ses pieds et j’ai commencé à caresser son sexe avec les deux mains. Son sexe sentait ...

... l’homme et il sentait aussi le désir, de telles odeurs m’ont aidé à prendre des initiatives à savoir embrasser son sexe puis ensuite le prendre en bouche. Pour la première fois de ma vie c’est moi qui prenais l’initiative de me mettre à genoux et sucer un homme, il faut reconnaitre que le directeur du camping était bel homme. Ce qui me plaisait le plus c’est qu’il me parlait au féminin avec une grande douceur. J’aihonte à le dire mais je pense que j’aurais passé des heures à le sucer tant les odeurs dissimulées dans son pantalon me faisaient de l’effet. Il en profitait pour me titiller la pointe de mes tétons, je ne trouvais pas ça désagréable mais j’aimais surtout me donner à lui. Il m’a dit que la femelle qui dormait en moi lui plaisait beaucoup. De mon côté je prenais grand plaisir à promener ma langue tout autour de l’anatomie de son sexe. Pas une veine, pas un grain de beauté, pas une aspérité n’étaient oubliés par l’inspection de ma langue. Promener ma langue à la base de son prépuce lui faisait un effet monstre, du coup de temps à autre j’y promenais la rugosité de ma langue. De temps à autre il enfonçait complètement son morceau de viande dans ma bouche, j’étais àdeux doigts de vomir. C’est lui qui dirigeait les opérations, je me laissais faire, j’étais sa soumise; j’étais là à genoux devant lui juste pour lui donner du plaisir. Ses poils pubiens qui me chatouillaient le nez sentaient bon le sexe d’homme et cela n’était pas pour me déplaire. C’est lui qui donnait le rythme ...