1. Confessions coquines des copines de Cathy


    Datte: 12/08/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... raconter de tout ça, en particulier aux élèves du lycée, anciens ou actuels. Heureusement, il n'habite plus à proximité. Et jusqu'à présent, je n'ai entendu parler de rien". Et on a fini notre thé en gloussant. Sacrée Gaby, elle m'étonnera toujours… CORINNE Je vais vous parler maintenant de Corinne. Cette fois, il ne s'agit pas d'une collègue mais d'une voisine. C'est une blonde aux longues jambes qu'elle met toujours soin à mettre en valeur par des jupes courtes ou par des mini shorts lorsqu'elle est en repos à la belle saison. Elle affiche de fait sa sexualité bien que mariée à un garçon tout ce qu'il y a de plus gentil. Tellement gentil que pour son cinquantième anniversaire, il lui a offert un voyage sous les tropiques en sa compagnie dans un village pour touristes en bord de mer. La suite, c'est elle qui la raconte alors qu'on bronzait toutes les deux à poil au bord de sa piscine. "Un soir, on se trouvait au restaurant du village, comme d'habitude, quand un couple s'est installé non loin de notre table. L'homme était face à moi, la femme de dos. J'ai tout de suite remarqué son air viril, vraiment séduisant. Il ne cessait de regarder mes jambes, très découvertes par ma mini robe, et essayait de capter mon regard. J'ai fini par le soutenir pour le défier. Il ne s'est pas dérobé. A la fin du repas, il s'est levé et nous a proposé de prendre un verre avec sa femme. Nous avons accepté et nous nous sommes lancés dans une longue discussion vacancière. Il me transperçait ...
    ... littéralement de son regard et j'ai évidemment compris qu'il voulait coucher avec moi. A force, son magnétisme a fini par m'envahir. Sa puissance était telle que je me sentais de moins en moins capable de résister. - Et ton mari ne s'apercevait de rien ? - Non. Il discutait avec la femme de manière badine, en plaisantant. A un moment, l'homme a avancé son pied vers le mien. Je l'ai retiré, il a insisté, je l'ai retiré à nouveau, il a insisté encore et j'ai fini par accepter sa pression. Il avait gagné. Lorsqu'on s'est séparé, on s'est fait la bise et il a profité d'un moment d'inattention de nos conjoints pour me murmurer à l'oreille : "à minuit derrière le terrain de tennis". Je n'ai pas répondu. Mais à peine couchée, une chaleur intense m'a envahi le bas-ventre. Je me suis masturbée, j'avais la chatte toute poisseuse mais ça ne faisait que m'exciter davantage. J'ai voulu prendre l'air et je suis sortie après avoir enfilé juste un short et un tee shirt. Mon mari dormait profondément. J'ai fait quelque pas et j'ai vu le terrain de tennis. Entre l'ange qui me dictait de ne pas y aller parce que mon mari m'avait offert ce voyage pour mes cinquante ans et le diable qui m'attirait vers l'assouvissement de mes pulsions, c'est encore le diable qui a gagné. Ce n'était pas la première fois. J'ai toujours eu du mal à résister à mon goût pour le sexe. Y compris extra conjugal. J'ai dû naître les jambes écartées. Et je suis allée pieds nus vers le terrain de tennis. Il m'attendait ...
«1234...»