1. Mais oui, c'est elle 3


    Datte: 15/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... fait sa connaissance et où elle pense lui avoir tapé dans l'oeil. Si réellement je ne suis plus l'homme de sa vie, si elle peut rêver de vivre mieux, beaucoup mieux, avec un autre, mieux loti que moi, notre promenade, que j'ai volontairement dirigée vers la demeure du tentateur, va peser dans sa décision soit d'accepter des billets pour se livrer soit de me rester fidèle. Cette fois elle a le choix entre notre vie modeste ou une vie plus facile, si elle sait, à son tour, séduire ce séducteur. La balance a deux plateaux. Moi, Jean, dans l'un, Grégoire dans l'autre. Je préférerais peser plus lourd que lui, avec ses biens et sa queue excitante. Ferai-je le poids ? J'ai peur que les comportements réciproques d'Elvire et de Grégoire lors de leur première rencontre n'annoncent le succès du quinquagénaire. La différence d'âge entre mon épouse de trente ans et ce type d'environ cinquante ans ne comptera pas si Elvire, lasse de sept ans de vie simple, se laisse tenter par la perspective de jours plus aisés, sans soucis d'argent et avec un homme bien membré. Curieusement, à l'heure du coucher, ma femme réclame mon amour. Elle se montre insatiable... Je me suis fait un film, c'est moi qui ai rêvé de ses fantasmes de changement. Non, Elvire jouit, elle se donne, elle me chevauche, elle engloutit ma verge, elle lui tire ses salves de sperme, elle ne cesse que lorsqu'elle est épuisée, en sueur. Il est impossible de croire que cette épouse songe à un autre. quand elle m'étreint. Plus ...
    ... curieusement, le lundi, le mercredi, le jeudi la libido d'Elvire semble décuplée. Que lui arrive-t-il ? Elle m'aime ! Le vendredi soir, Elvire prend un air contrit pour m'annoncer qu'elle n'a pas pu refuser à ses collègues et amies de participer à une fête réservée aux enseignants de son école, le samedi après-midi, à quinze heures, chez Gisèle. Je ne suis pas enseignant, on ne m'invite pas, on m'évite...ALERTE ! Je ne suis pas dupe. La coïncidence est flagrante. Grégoire aussi a parlé de quinze heures. Aujourd'hui Gisèle aura des moustaches. Je donne le change : - Ne sois pas désolée. Il faut savoir se détendre au contact de ses collègues. Va, je saurai m'occuper. Le samedi en fin de matinée, je demande à mon épouse de ne pas m'attendre avant le soir. Je prétends aller chez un copain puis au stade de foot. Ainsi Elvire ne doit pas culpabiliser à cause de sa fête chez Gisèle. Le choix de mes occupations indépendantes la libère et soulage sa conscience. Elle retrouve le sourire que la peur de me laisser seul avait terni. Ah! Si elle savait où je vais. Je sonne trois coups puis trois coups. La porte s'ouvre, je salue Grégoire, Grégoire me dévisage. Je lui tends une photo : - Bonjour, monsieur Latour. Connaissez-vous cette personne? - Euh ! Qui est-ce ? Pourquoi devrais-je la connaître? Et pourquoi me posez-vous cette question ? - N'est-ce pas cette personne que vous attendez cet après-midi à quinze heures ? - Montrez-moi encore cette photo.... Comment savez-vous ? En quoi cela vous ...