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Le Club - Partie 10
Datte: 15/01/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,
... inutilement. Il s'était collé à elle, la forçant à rester plaquée au mur. Il était tellement grand et puissant qu'elle avait l'impression d'être emprisonnée entre deux parois de béton. Il la tira soudainement par les cheveux et elle put voir son regard brun et mauvais qui la dévisageait. A ce moment, elle eut l'impression qu'il allait la tuer et elle se mit à se débattre. Ce regain de résistance réveilla les ardeurs de Diaz. Il lui tordit le bras encore plus fort et elle serra les dents encore plus. Il s'appuya encore un peu plus sur elle et elle se retrouva oppressée presque étouffée. Il lâcha enfin ses cheveux et sa main descendit vers sa jupe qu'il souleva. Elle tenta de lui résister de sa main libre. - Laisse -- toi faire, ordonna -- t -- il. Laisse -- toi faire si tu veux vivre. Elle ne savait pas s'il était sérieux ou s'il jouait un jeu mais son sang se glaça dans ses veines à ces mots et son bras s'effondra presque contre sa volonté. Il la troussa totalement dévoilant sa petite culotte de soie blanche. Il la baissa quasiment immédiatement et la força à soulever sa jambe droite tellement haut qu'elle en eut mal. Elle était totalement offerte. Il se plaça alors de façon à lover son entrejambe entre ses cuisses. Il lâcha enfin son bras afin de libérer son sexe de son pantalon et il la pénétra alors. Elle était totalement sèche, ce petit jeu n'ayant rien d'excitant pour elle, et la pénétration de ce sexe imposant lui irrita totalement le conduit vaginal. Il n'en eut cure ...
... et commença à la ramoner dans cette position horriblement douloureuse pour elle. Chacun de ses coups de rein, lui faisait presque quitter le sol et elle sentait ses grognements presque d'animal dans son cou. Ce coït obscène dura un temps bien trop long puis soudainement, il se retira et lui reprit les cheveux, la tira vers le bas. Elle se retrouva alors à genoux, le visage au niveau de sa queue juste au moment où celle -- ci déversait son flot de liquide séminal. Elle eut à peine le temps de fermer les yeux mais son visage tout entier fut inondé ainsi que tout le haut de son corps. Il la repoussa alors sans douceur comme une poupée de chiffon et elle se retrouva agenouillée contre le mur. Il se dirigea vers le lit et s'y assit. Elle sentit le poids de son regard sur elle mais elle n'en avait cure, elle avait besoin de ces quelques instants pour rassembler ses esprits. - Relève -- toi, ordonna -- t -- il finalement. Elle resta quelques instants sans réaction puis se redressa doucement, elle fit redescendre sa jupe ; sa culotte avait disparu dans un recoin sombre de la chambre et elle savait qu'elle ne la reverrait jamais. Elle referma son gilet déchiré sur son pull et elle eut l'impression de retrouver un peu de la dignité qu'elle avait avant de glisser cette maudite clé dans la fente électronique. - Avant de reprendre, parlons affaire, déclara -- t -- il. Dès demain, tu vas engager un nouvel assistant. Il s'appelle Adriano Silva. Officiellement, il sera chargé de te seconder ...