1. Jour de grève (1)


    Datte: 15/01/2019, Catégories: fhhh, hplusag, inconnu, train, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, pénétratio, conte,

    Sandrine, c’est mon prénom. J’ai toujours aimé sentir le regard des hommes se poser sur moi. Je porte souvent des minijupes, sans culotte et recherche les escaliers les plus abrupts possible pour dévoiler ma croupe à ces messieurs. Quand je fais mes courses, je ne porte pas de soutien-gorge et mets un chemisier bien décolleté, ainsi, si je me penche, mes seins se dévoilent aux regards des mâles. Je viens d’avoir 22 ans, mariée à un homme trop souvent absent, mais je n’ai jamais ressenti le désir de le tromper. C’est juste que je m’ennuie un peu, alors je m’amuse. Aujourd’hui, je ne sais pas pourquoi, j’ai envie d’un peu plus, j’ai envie d’exciter bien sûr, mais si je pouvais y mettre un peu de piment… une amie m’a dit récemment que la peur était un super aphrodisiaque. Et si je testais !?… Comme souvent au printemps, c’est jour de grève. Service minimum dans les transports, je n’irai pas au boulot. Et si ?… une idée vient de traverser mon esprit de blonde, et mon mètre soixante-dix entre en ébullition. Oserais je ?… Allez, plus d’hésitation, je me lance. Une paire de bas, une jupette plissée noire, juste une veste de tailleur sans rien dessous, des escarpins et un petit sac en bandoulière seront ma panoplie pour aujourd’hui. Je me dirige vers la bouche de métro, en descendant les escaliers le vent tente de soulever ma jupe. Je la maintiens d’une main, mais je suis sûre que des yeux ont déjà vu que je portais des bas. Arrivée sur le quai, je me noie dans la foule, et attends ...
    ... mon destin, avec un petit quelque chose au ventre. Mon but d’aujourd’hui : me sentir presque nue et me coller à des hommes qui ignorent tout de mon jeu. Le quai est noir de monde, impossible d’éviter le contact avec les gens qui m’entourent. C’est pourquoi je n’ai pas réalisé que la personne qui se tenait derrière moi, se pressait contre mon dos en appliquant, contre mes fesses, de très léger coup de reins discret, afin que personne ne le remarque. J’ai senti le rouge me monter aux joues et mon cœur battre plus fort. Et s’il avait vu, s’il avait remarqué, s’il avait compris que je suis nue sous mes vêtements et de ce fait très vulnérable. Je l’imaginais ouvrant d’un coup ma veste en arrachant les boutons, puis soulevant ma jupe et se mettant à hurler « regardez, c’est une salope ». Je pris une grande respiration afin de calmer la panique qui m’envahissait. Peut-être ne faisait-il rien et c’est moi qui faisais un peu de paranoïa. Le métro arrive enfin au bout d’une demie heure. Je ne suis qu’à une station du début de la ligne, de ce fait il est presque vide. Pas pour longtemps. Les portes s’ouvrent, et une marée humaine me propulse dans le wagon. J’ai juste le temps d’attraper une barre centrale pour éviter de me faire écraser contre la porte opposée. Au bout d’une minute les portes tentent et retentent de se fermer et y parviennent enfin. La rame démarre. C’est le moment de faire le bilan de ce qui se passe autour de moi. Je suis face à face avec un homme d’une cinquantaine ...
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