Un beau matin d'été
Datte: 12/08/2017,
Catégories:
grp,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
Un beau matin d’été, dans le silence du château de ma mère, je déambulais dans les couloirs sombres et humides, vêtue d’une simple nuisette blanche imprimée de petits cœurs roses, mes pieds nus glissant légèrement sur les tomettes fraîches. Prise d’une excitation soudaine, en passant devant la chambre de mon cousin Arnaud, dont j’étais secrètement amoureuse, je ne pus m’empêcher de regarder par la porte entrouverte. Comme il me l’avait raconté lors d’une soirée de confidences : « je ne dors jamais avec un quelconque vêtement ! », je le trouvai endormi nu sur son lit, son corps à peine voilé par un drap léger, un rayon de soleil éclairant le bas de son ventre comme un signe du ciel m’indiquant le chemin à suivre… J’entrai à pas de velours, mon petit cœur battant la chamade, et m’assis au bord du grand lit pour admirer de plus près son corps abandonné à mon regard gourmand. Bientôt, sans pouvoir résister, je posai une main tendre sur sa cuisse nue. Sa peau était chaude et mon cœur sautait joyeusement sous ma poitrine dont les tétons se dressaient fièrement sous le fin tissu de ma nuisette. Prise d’une pulsion incontrôlable, je caressai lentement ses jambes, son ventre, puis j’aventurai mes doigts sur son membre qui semblait se durcir à travers le tissu du drap. Il gémit doucement et s’étira mais sans ouvrir les yeux, comme pour mieux profiter des mes attentions matinales. Je compris alors qu’il m’avait vue arriver et avait feint de dormir pour mieux profiter de mes ...
... attentions. J’étais toute émoustillée à l’idée de pousser plus loin mon exploration et, soulevant le drap, je découvris son membre qui commençait à se dresser doucement vers le ciel. Le rayon de lumière entre les volets semblait jouer avec ce joujou de chair, objet de toute ma convoitise. J’aimais le caresser de mes doigts, tirer délicatement sur la peau pour l’allonger, voir le gland se gonfler de désir et la hampe grossir et s’allonger démesurément sous l’effet de mes caresses. Terriblement excitée, je glissai ma main libre entre mes cuisses humides pour caresser mon petit bourgeon qui se gonflait lui aussi de désirs inavouables. Cela sembla durer un temps interminable où ma main droite s’affairait sur ce sucre d’orge long et ferme tandis que ma main gauche tentait de calmer les ardeurs des replis de ma plus tendre intimité. Approchant mon visage pour mieux observer les contours de cet étrange animal, je déposai tout du long de doux baisers amoureux, sans trop savoir comment m’y prendre pour donner à mon cousin encore plus de plaisir. C’est alors que je ne pus me retenir de le happer d’un coup pour le sucer avec gourmandise. Mon amoureux émit un gémissement de plaisir et se laissa faire tout en gardant les yeux fermés. Me laissant complètement aller à mes désirs et mon intuition, je le suçais à présent avec passion, l’enfonçant jusqu’au fond de ma gorge. J’étais toute humide à l’idée que ce glaive tendre et ferme pourrait habiter les tréfonds de mon ventre déjà si avide de nouvelles ...