Comment j'ai baisé un vieux, pas sa femme, dans une maison de retraite. (1)
Datte: 15/01/2019,
Catégories:
Gay
En juin dernier, je me suis dit, qu’Il fallait que j’aille rendre visite à ma grande tante de 73 ans dans sa maison de retraite. Quand je suis entré dans sa chambre, elle était vide, j’ai appris qu’elle était en soins et que j’allais devoir patienter une bonne trentaine de minutes. Pas grave me suis-je dit, je vais aller rendre une petite visite aux "Dubreuil". C’est un couple d’amis de longue date, de ma grande tante et qui occupe un appartement sur le même palier. Ils sont sensiblement du même âge. Toc Toc, personne ne répond. Après quelques secondes, je retoque à la porte, mais toujours aucune réponse. Parce que je les connais bien, je décide d’entrer, doucement, pour ne pas les déranger. — Madame Dubreuil... vous êtes là ? Silence... Je suis rassuré, quand je vois la vieille dame, endormie profondément dans son lit. Je m’approche alors et j’éteins la TV restée allumée. Son mari dort dans la chambre à côté, je l’entends ronfler, mais pour être totalement rassuré, je pousse la porte de sa chambre pour voir si tout va bien. Rassuré, j’allais repartir quand j’ai vu qu’il dormait avec ses chaussures. J’ai alors décidé de les lui retirer, afin qu’il soit plus à l’aise. Il était couché sur le dos et les jambes ouvertes, mais quelle ne fut pas ma surprise de voir que le vieil homme dormait avec le sexe en érection... C’est le seul moment ou il doit bander le pauvre vieux, me suis-je dis en souriant... Cette queue de vieux me rappelait une histoire croustillante, que j’ai vécu ...
... il y a quelques mois et que j’ai déjà racontée ici. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je me suis alors approché de lui, et à travers son pyjama, je lui ai massé doucement son membre, et plus particulièrement au niveau de ses couilles. — Mais que fais-tu Alain ? Me disais-je. Mais j’ai continué de le caresser lentement, sans me soucier de sa femme qui dormait à côté. Entre mon pouce et mon index je faisais à présent mes va-et-vient, le long de la bite du vieillard. Le massage devait être bon, car sa queue commençait vraiment à durcir, à mon grand étonnement. Ce qui est dommage c’est qu’il risque de ne va même pas en profiter. J’entrepris de baisser son pyjama jusqu’aux genoux. Le vieux avait une queue assez fine et pas très longue. J’ai continué de le branler a même la peau. J’ai alors glissé mes mains sur ses couilles, je les ai malaxées à pleines mains, et il commençait même à bander dur le salaud. L’envie m’est venue, je me suis penché sur le vieillard et j’ai commencé à lécher sa bite. Tout doucement d’abord. Je tournais ma langue sur son prépuce et il aimait ça, car son vieux sexe se raidissait de plus en plus. Puis j’ai enfourné sa queue toute entière dans ma bouche. Huuuum que de souvenirs... Sans le toucher, mes mains posées sur le bord du lit, j’ai commencé à le sucer et à lui faire une bonne pipe. Je le léchais partout, il dormait profondément, et ça me procurait un plaisir incroyable, J’avalais son membre tout entier et sans le savoir, il aimait ça le pervers, et ...