1. Mon voisin a vu ce qu'il n'aurait pas dû voir (1)


    Datte: 12/08/2017, Catégories: Gay

    ... soit ainsi catégorisée à ses yeux et même peut-être aux yeux de village, le plus gênant c’est que je sois mêlé à cette affaire. Là, il m’a expliqué que voilà bien longtemps il était marié et qu’avec le temps il avait fini par virer sa cuti et que sa femme l’avait quitté pour cette raison. Au fur et à mesure de la conversation il a réussi à me faire comprendre que j’étais sur mon genre d’homme, je m’en voyais flatté mais jusqu’à maintenant j’étais hétéro. Là où le ton de la conversation a changé, c’est quand il m’a dit qu’il serait bien que j’accepte ses avances si je ne voulais pas qu’il raconte tout à ma femme. Il n’y avait pas d’autres termes, c’était du chantage; mon voisin voulait s’envoyer en l’air avec moi en échange de son silence. Décidément, les weekends où je venais tout seul à la campagne, il y avait toujours plein d’aventures rocambolesques. Pendant qu’il me parlait il en avait profité pour prendre ma main qui était posée sur la table, il m’a fallu plusieurs secondes pour réaliser qu’il me la tenait et que je la retire nerveusement. — Je ne veux pas que tu viennes coucher tout de suite avec moi. — Je voudrais que nous fassions connaissance. — Bien sûr nous ferions ça discrètement, plus discrètement que ta relation avec Muriel. J’ai expliqué à Claude que je n’avais jamais cédé au chantage, pour quoi que ce soit et de la part de quiconque. Claude était un grand et bel homme, il avait facilement trente ans de plus que moi, il avait du mal à cacher son côté directif ...
    ... autoritaire. Il s’est levé de table pour me quitter et rentrer chez lui, à cette occasion il en a profité pour me caresser la joue et je n’ai pas eu le temps de réagir, je me suis laissé faire. Après son départ, je suis resté de longues minutes sous le choc de ce que je venais d’apprendre, je pensais fortement à mon voisin et il avait envie de moi, à sa façon c’était un cougar. Je ne pouvais pas en parler à ma femme, je ne pouvais pas en parler à ma maîtresse, je ne savais pas à qui en parler; j’étais condamné à garder ça pour moi. Le weekend d’après, je trouvais des photos de moi en train de m’envoyer en l’air avec Muriel, sur les bottes de foin, dans les champs, dans les bois. Manifestement Claude avait du très bon matériel photo, vu la qualité de ces dernières, il y avait un petit mot qui était joint. — Je ne suis pas sûr que ta femme apprécie ce genre d’écart de ta part. — Bisous à toi. Ce n’était pas une lettre de corbeau, car il poussait le vice jusqu’à signer son courrier, cela montrait l’assurance qu’il avait en lui. Je suis donc allé le voir avec toutes ces photos, je lui ai dit que je trouvais ces dernières de très belle qualité mais ce n’est vraiment pas très délicat d’avoir immortalisé de telles scènes. En réponse à mes propos tous pleins de diplomatie, j’ai eu le droit à une grande claque dans la figure qui m’a littéralement sonné et fait tomber. En effet Claude me mettait facilement douze centimètres dans la vue, mais surtout il était bien plus lourd, plus massif ...
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