1. Que diable suis-je allé faire dans cette galère (2)


    Datte: 15/01/2019, Catégories: Transexuels

    ... là c’est Claude, le patron du camping qui s’est présenté. C’est bête à dire mais je savais pourquoi il venait, il m’a pris par la main et m’a emmené au niveau de la malle; mais là il n’a pas eu besoin de me tenir et de me guider je savais ce que je devais faire. Il a soulevé l’arrière de ma robe, je l’ai entendu se défaire de son pantalon; il n’a pas eu besoin de me mettre de lubrifiant sur mon petit cul, ce dernier débordait de sperme. Il m’a collé une énorme claque sur les fesses avant de me pénétrer. Il n’y a pas à dire aujourd’hui j’étais devenue le garage à bites de l’équipe du camping. Vu ce que j’en ai senti son sexe était épais et long, il s’est mis à parler de moi au féminin en rigolant. Là il m’a expliqué que grâce à eux j’avais découvert ma véritable identité sexuelle, et si quelque part il avait raison. Il a commencé à aller et venir en moi, c’était divin, je ne rouspétais plus, je me laissais faire et je savourais. En 4 jours ils avaient fait de moi la chienne de l’équipe d’animation du camping. Il m’a un peu écarté les jambes et surtout saisi les bras en arrière, cela lui permettait de forcer plus en profondeur. Dans cette pièce, je ne sais plus vraiment si j’avais le rôle d’une femme facile ou d’une chienne offerte.Toujours est-il que le rôle que j’interprétais me plaisait énormément. En quatre jours, ...
    ... j’avais réussi à passer d’hétérosexuel à chienne offerte capable de satisfaire 5 hommes en une journée... Il n’y a pas à dire, je mettais tout mon coeur pour interpréter ce rôle du mieux que je pouvais, on verra ce qu’en diront les vacanciers samedi soir après le spectacle... Pour l’instant, le patron du camping était en train de me féconder, il n’a pas été long à me ramoner, en me traitant de tous les noms, avant de partir en moi. Il est resté en moi jusqu’à me laisser la dernière goutte, il m’a délicatement repositionné m’a culotte pleine de sperme puis m’a quitté en disant que j’avais un sacré potentiel... Merci pour le compliment... Après la répétition, l’équipe m’a laissée tranquille. Je suis quand même passée aux toilettes pour essayer de me vider de ces centimètres cubes de semence, puis je suis rentrée à mon bungalow retrouver Marie. Elle m’a travaillée pour me tirer les vers du nez, avec détails.., je n’en ai pas donné trop, question d’amour propre. Thierry et Gilles sont arrivés pour écouter mon récit, grande honte pour moi, Marie leur avait raconté les séances précédentes. En sachant que ces deux là étaient gays et pacsés, je ne vous raconte comment celà à dû les chauffer. Toujours est-il que tout les trois sont venus me réconforter chacun à leur façon... Si l’histoire vous à plus, j’y mettrai une suite. pugpaaky 
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