1. Rome II


    Datte: 15/01/2019, Catégories: fh, extracon, inconnu, vacances, magasin, revede, Oral pénétratio, extraconj,

    ... nouvelle excitation lors de vos prochains ébats quand il vous pénétrera. Vous penserez alors à moi et vous jouirez dans ses petits bras potelés en pensant… qu’il ne vous mérite pas. Et pourtant vous l’aimez, je le sens ! N’est-ce pas ? Il a beaucoup de chance. Douce et frémissante, elle offre ses lèvres (toutes encore une fois) à son bourreau pour ne plus penser, pour se perdre, pour qu’il l’emmène loin d’ici. Noyée par le désir, elle écarte largement ses mains et ses bras autour de ses épaules. Sa bouche aux lèvres arrondies embrasse avec volupté ce corps qui la rend folle. Tantôt accrocheuse, tantôt féline, elle parcourt sa peau bronzée les yeux fermés, comme il lui a appris. De la même façon qu’elle avait les sculptures en bois entre ses mains, elle épouse chaque relief avec les doigts écartés et les lèvres entrouvertes. Sans dire mot, ouvrant plus largement la chemise de son persécuteur, Chloé caresse le torse large et musclé puis remonte vers les épaules. Mais les mains de l’homme-pas-comme-son-mari, prenant son visage entre ses mains, la rapprochent doucement de sa bouche. Il lui prend ses lèvres, sa langue et tout son sens commun soudain évanoui. De cet artisan fait de chair, et de bois visiblement, elle goûte toute la rudesse et la chaleur. Son énergie la submerge. Elle rend les armes et appuie son bas-ventre contre la verge héroïque qu’elle se plait maintenant à provoquer. Femelle en chaleur, son regard direct et impudique met le feu à son bel amant. Les larges ...
    ... mains plaquées sur les assises (le cul bien rebondi et saillant à travers le pantalon blanc) de sa belle prisonnière écartent largement les deux globes célestes. Chloé ainsi offerte et mise à nu se détend et ouvre tous ses orifices à son Michelangelo. Soudain pris d’une tornade d’énergie furieuse, l’artisan tourne la belle face à une petite commode d’un style… on s’en fout, et agrippe fermement le cul ainsi exposé. L’artisan bien outillé ôte son pantalon, son slip puis ceux de Chloé et pénètre longuement cette petite chatte toute mielleuse. Longuement dans un sens, puis dans l’autre sens, les deux chairs se frottent, se cajolent, s’excitent mutuellement. Se retirant complètement, il joue avec son gland sur la petite moule fraîche du matin câlin. Chloé, affolée par ce petit jeu pervers, ébauche un léger redressement. Mais la paume de la main masculine plaquée sur son dos lui rappelle qu’il n’est plus temps de minauder. Le buste projeté vers l’avant et le cul à nouveau bien ouvert, Chloé se soumet et met à bas ses dernières protestations. Le phallus en forme de champignon joue de plus en plus vite à entrer/ressortir. À chaque fois Chloé sent sa moule (mal) menée. L’homme plus que voyeur dans cette position (con) temple avec ravissement ce cul rebondi qui se plait à taper contre son bas-ventre. Les va-et-vient amples et incessants provoquent quelques bruits parasites d’aération gynécologique qui gênent terriblement la belle touriste mais amusent par contre beaucoup le chef ...