Pincesà linge et poids à couilles (1)
Datte: 16/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... fera pas de moi un PD. - OK, tu me suces mais trente secondes, après tu te casses... Et pas une mot à personne. - Cool ! - Promis ? - Juré ! Il s’est approché de ma bite, j’ai eu un mouvement de repli, mon corps qui ne pouvait pas reculer (c’est difficile, assis sur un lit), s’est contracté comme si j’allais recevoir une décharge électrique ou un choc... et c’en a été un ! Putain quelle bouche ! J’étais bras tendus appuyés sur le matelas, jambes figées, muscles du visage crispés et tout à coup, les sensations qui me venaient de ma bite m’ont vaincu. Je me suis décontracté, apaisé, détendu, laissé, laissé, laissé faire... Ouah ! Quelle pipe, quelle putain de bordel de merde de magistrale pipe ! Jamais une meuf en effet ne m’a bouffé la queue comme ça ! Les trente secondes sont vite dépassées et la minute et les cinq minutes... J’oublie que c’est un garçon qui me suce, c’est une bouche, une bouche experte, un garage à bite formidable, je suis bien dedans. Trop bien. J’appuie ma main sur sa tête, je le guide, je balance le PC pour m’allonger tout à fait. Il s’allonge aussi, tête-bêche, me suce la queue, joue avec le prépuce et le gland, passe sa langue entre les deux, me mange les couilles... j’écarte les cuisses, il cherche mon anus. - Plie tes jambes vers toi s’te plait. Je m’exécute parce que c’est trop bon, parce que j’ai oublié que c’est un mec qui me pompe si bien. Il faut (enfin, il faut ! rien ne l’y obligeait mais je laisse faire, ne songeant pour le moment qu’à mon ...
... propre plaisir) qu’il m’enjambe et se mette au-dessus de moi pour que je m’en rappelle. J’ai son paquet en visuel direct. Nouveau mouvement de recul mais court, très court parce que là il me lèche la rondelle. C’est la première fois qu’on me le fait ! Un truc de dingue, c’est hyper bon... gland, manche, couilles, rondelle... Je me fais bouffer le trou duc cul et j’adore ça. C’est peut-être même meilleur que de se faire pomper le dard. Sa bite dure ne peut pas faire autrement que de toucher mon corps, encore fait-il attention pour ne pas m’effleurer le visage. J’en ai conscience. Il se maintient au dessus de moi pour ne pas m’imposer la pression de son sexe turgescent. Si c’était une fille, en 69, je lui boufferais la chatte illico, sans discuter. Je ne sais pas quoi faire de mes mains, alors je les pose sur son dos, puis sur ses fesses, je gémis de plaisir. Il y voit un encouragement, s’abaisse graduellement et son sexe touche mon visage. Sa belle tige, ses boules toutes épilées sentent bon, alors je pose délicatement mais lèvres, un tout petit baiser furtif sur sa chair puis je sors la langue et je goûte, timidement, je goûte sa peau, la sueur qui perle légèrement entre ses couilles et son anus, je goûte son intimité douce et chaude et je perds toute notion des choses. Il se déchaîne sur ma verge, je suis au bord du délire, mes mains agrippent ses globes fessiers, les écartent, il se repositionne et je suis face à son trou. J’y plaque ma langue dans une pulsion irrépressible. ...