1. La salope du métro (1)


    Datte: 16/01/2019, Catégories: Hétéro

    Bonjour, je m’appelle Ana, 33 ans, grande rousse pulpeuse, aux yeux verts, à la bouche gourmande et à la poitrine généreuse. Ce matin, je me lève en forme. Je saute du lit et me dirige vers la salle de bain. Je fais couler l’eau de la douche afin que la température soit idéale. Je retire ma nuisette qui cache à peine mon corps, je me regarde dans le miroir en entortillant une mèche de cheveux autour de mon index et de l’autre main, je malaxe un sein, tire sur mon téton dressé. Je souris, me trouvant terriblement jolie. J’entre dans la douche et soupire. L’eau est délicieuse, je bascule ma tête en arrière pour faire couler l’eau sur mon visage et glisse mes mains dans mes cheveux "mmh que ça fait du bien". Je savonne doucement mes cheveux puis le corps, descendant vers mon cou, mes épaules, mes bras, en de délicates caresses. Je m’occupe de mes seins, versant du gel douche dessus, imaginant que c’est du sperme et malaxe généreusement mes seins jusqu’à ce qu’ils soient bien enduits et glissants, je gémis et me cambre. Mes mains descendent alors vers mon ventre, mes cuisses que j’ouvre, et mes doigts viennent s’insinuer sur mon clitoris déjà dur et sensible. Deux doigts entrent en moi, un long gémissement s’échappe de mes lèvres. Je suis bien humide et ça n’est pas seulement à cause de l’eau de la douche. Je souris et commence à me doigter, de plus en plus rapidement, pendant que mon autre main revient sur mon sein et vient tirer mon téton. "Mmmh t’aimes ça salope hein, te ...
    ... doigter comme une chienne imaginant que c’est le membre tendu et dur d’un gros pervers !" Je pousse un petit cri de plaisir. Mes doigts s’agitent frénétiquement en moi, sentant que la jouissance est proche "ohhhh que c’est bon, ouiiii ". Mon corps est secoué de spasmes qui resserrent mon vagin sur mes doigts, je halète et soupire tout en ralentissant la cadence de mes doigts avant de les retirer et de les porter à ma bouche "mmmh". Je me rince doucement, tressautant dès que le jet du pommeau se déverse sur mon clitoris encore sensible. Je sors de la douche et me sèche tout en regardant l’heure qu’il est. Je me rends compte alors que j’ai totalement perdu la notion du temps et que je suis en retard. Je vais rapidement dans ma chambre, enfile un soutien-gorge en dentelle noire, une minijupe vaporeuse, un débardeur moulant qui met parfaitement ma poitrine en valeur et une paire d’escarpins à talon. Je repasse rapidement dans la salle de bain pour me maquiller et laisse ma crinière rousse onduler au naturel. Je fais un clin d’œil à mon reflet "une vraie salope", prends mon sac et me sauve. J’arrive à la station de métro, descends 4 à 4 les escaliers et arrive sur le quai, essoufflée. "Ouf ! Je n’ai pas raté mon départ". Je remarque près de moi un grand gaillard d’une cinquantaine d’années plutôt séduisant qui me sourit et me fait un clin d’œil. Je lui souris, habituée à ce genre de réaction de la part de la gent masculine. Encore bien excitée de ma masturbation matinale, je décide de ...
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