1. Je ne voulais pas tromper ma femme avec ma voisine (1)


    Datte: 16/01/2019, Catégories: Divers,

    ... que j’avais beaucoup de plaisir à danser avec lui et que lui me montrait sur mon ventre également un intérêt indiscutable. — Comment, mon mari vous a fait des propositions. — Non, il a toujours été très correct, mais je pense que cela doit être un réflexe conditionné qu’il n’arrive pas à maîtriser. — Cela me plaît déjà plus. « aïe, cela doit être un peu comme la fourmi, elle n’est pas prêteuse, mais enfin essayons peut-être, cela ne peut pas faire de mal. » pense Martine. — C’est tout comme moi, de sentir cette barre qui touche parfois mon bas ventre, cela me trouble beaucoup et surtout, j’ai avoué à mon mari que j’appréciais beaucoup de me sentir désirée. Ce à quoi, ce fut pareil pour lui, bien qu’il n’y ait eu aucune marque extérieure, il a fantasmé que tu l’aguichais et en était tout remué et touché. Mais son sens des réalités et responsabilités a pris le dessus. — Tu m’en diras plus, c’est vrai que quand je le voyais dans le jardin, j’avais des pensées un peu perverses, avant que je te connaisse. — Suite à cela, il m’a demandé si cela me gênerait beaucoup si on flirtait un peu entre couple et de voir après comment cela se présenterait et il m’a déclaré que c’était toujours moi son amour et qu’il n’oublierait jamais que c’est lui le père de nos enfants. Je lui ai assuré que pour moi, ...
    ... c’était idem. — Intéressant, dit Jane en pensant « finalement peut-être qu’en passant par là, même si Jean prend du bon temps avec elle, j’arriverai à concrétiser mon rêve d’être mère avant que ce soit trop tard, j’ai vraiment pas envie de passer par les bébés-éprouvette. ». Je ne sais ce qu’en pense Jean, mais je pourrais aborder la question avant notre prochain rendez-vous dansant. — Top-là, j’espère et suis presque sûr si nous trois on agit en adulte, cela va marcher. Jusqu’où penses-tu qu’on ira ? — Je ne sais pas, mais je ne vois pas de limite, même toi tu me plais quand tu n’es pas une furie m’insultant. — Excuse-moi, mais comprends-moi, Enrico, c’est ma vie, mais je comprends aussi ton besoin de maternité et finalement je te prêterai bien mon mari pour réaliser ton bonheur, si c’est Jean qui n’est pas assez productif, mais prêter n’est pas donner. — Non, ce n’est pas cela, on est simplement incompatible. ryaroohw — Aïe, heureusement qu’après le troisième enfant, j’ai l’impression d’en avoir assez et j’ai pas envie de recevoir la médaille de mère de la patrie. Je fais très attention. Mais encore, si tu tombes enceinte des œuvres d’Enrico, comment cela se passera-t-il avec ton mari ? — Je suppose que bien si lui-même passe par les mêmes étapes que moi, mais j’aime mieux lui demander à l’avance. 
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