La balade irlandaise
Datte: 17/01/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
entreseins,
pénétratio,
fdanus,
Après cette séance de découvertes franco-irlandaises, Marie et Balou déplièrent le canapé convertible et s’engouffrèrent sous la couette. Ils continuèrent à se caresser mutuellement allongés côte à côte pour préserver l’instant magique qui avant rendu leur rencontre si intensément fusionnelle. Marie souriait. Elle était ravie d’avoir séduit ce grand brun aux faux airs de Jean Reno, et surtout d’être la première femme à le faire jouir après un semestre de galère. La peau laiteuse de Marie contrastait avec celle de cet homme velu de type méditerranéen. Elle se lova contre lui, caressa sa poitrine poilue, embrassa les petits tétons et mélangea ses blanches cuisses aux siennes. Enlacé ainsi dans les bras de Marie, Balou laissait son esprit vagabonder vers les délices irlandais. Cette étudiante de vingt-trois ans, grande, rousse, à la poitrine généreuse, à la peau blanche, maculée de taches de rousseur, à la longue chevelure flamboyante et bouclée, l’avait séduit et de cela il n’en douta point. LesCorrs chantaient en sourdine, à travers la fenêtre Balou voyait voltiger les flocons de neige, la nuit s’annonçait une fois de plus sibérienne. Mais en cet instant, il était bien au chaud sous la couette avec sa jeune amante. La couette d’ailleurs sentait l’odeur ambrée de Marie, elle enivrait les sens de Balou qui s’en délectait. — À quoi penses-tu ? questionna Marie.— À toi, à nous.— Et ?— Tu sais Marie, j’adore ton petit accentso british. Marie se redressa et regarda son amant ...
... d’un air interloqué. — What !!! Only this !— Mais non, je te taquine voyons, ma petite irlandaise adorée. Ils éclatèrent de rire avant de replonger ensemble vers une cascade de baisers. Ensuite ils dînèrent d’un ragoût d’agneau préparé à l’avance par l’oncle Freddy. Ouf, Balou avait échappé à cette satanée sauce verte à la menthe qui accompagnait généralement ce plat irlandais typique. Le restant de la nuit fut tout naturellement consacré à la débauche de plaisir qu’ils se donnèrent jusqu’au petit matin. Un pincement, une douleur à l’épaule droite réveilla Balou. — Arrête de ronfler, ça m’énerve. Gémit une petite voix ensommeillée à côté de lui. Balou se retourna sur son flanc gauche, il sourit en se rendormant. Ce samedi matin était encore plus glacial que d’habitude. L’ordinateur de bord de la voiture de Balou affichait -15°. Heureusement que son véhicule avait démarré sans trop de mal car il s’était garé sur un bateau de livraison. Il avait laissé Marie dans son appartement au petit matin. Le soleil n’était pas encore levé. Balou éprouvait des courbatures après cette folle nuit de luxure. Mais il se dit que des galipettes comme ça il en ferait volontiers tous les week-end, ou alors vraiment il était en train de s’encroûter. Certes la trentaine déjà bien entamée il avait encore de beaux restes, mais quand même, se dit-il « faut que je fasse gaffe à mon palpitant ». Il souriait, heureux comme un pape en conduisant vers son domicile. Arrivé dans son petit deux pièces, il fut ...