1. COLLECTION DÉPUCELAGE. Le restaurant du dimanche. (1/1)


    Datte: 17/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Comme tous les dimanches midi mère refusant de faire à manger et la cuisinière ayant droit à son jour de repos nous allons systématiquement au restaurant de notre village, depuis des années c’est Brigitte qui nous sert. Ce dimanche nous apprenons qu’elle est tombée malade remplacée par une femme d’une quarantaine d’années qui vient d’arriver dans notre village et qui cherchait du travail. • Bonjour monsieur, bonjour madame, le patron m’a dit de vous choyer car vous êtes ses meilleurs clients. Un peu nunuche la dame mais une nunuche qui a tout ce qu’il faut pour un jeune homme de bientôt 19 ans mais hélas encore puceau jusqu’au bout de ses seins car je vois ses pointes marquer son chemisier. Il faut dire que dans le cadre familial trouver une fille est très difficile car nous sommes toujours les uns avec les autres et maman surveille la famille comme le lait sur le feu, ce serait une catastrophe s’il était possible d’accrocher des casseroles. • Mon prénom, je peux vous dire mon prénom. • Julien évite d’embêter la dame, elle est là pour faire son travail. • Oui mais dit lui que j’ai bientôt 19 ans. • Je note, Julien 19 ans et que mange un jeune homme prénommé Julien et qui a 19 ans. • Vous pourriez écouter pas 19, bientôt 19. • J’ai bien compris mais le cuisinier attend la commande. J’aurais envie de lui dire vous madame mais la présence de mes parents m’en empêche. • Des ravioli, j’adore les ravioli. • À quel jeu joues-tu, les autres fois tu refusais les ravioli tu disais que ...
    ... la viande à l’intérieur était faisandée. • Comment vous prénommez-vous madame ? • Suzette jeune homme. • Alors deux ! • Deux ravioli ? • Non, deux crêpes Suzette. • Julien tu dépasses les bornes c’est la dernière fois que tu viens manger avec nous, dimanche prochain tu ouvriras une boîte de conserve. • Laissez madame j’ai l’habitude j’ai des jumeaux un peu plus vieux que lui et on sait bien que ces jeunes aiment provoquer les adultes. • Êtes-vous mariées ? • Julien cela suffit, un ravioli pour lui et les pavés charolais pour nous. Le plat arrive et je rappelle la serveuse. • J’avais dit un ravioli regarder tout ce que vous m’avez mis ! • Julien terminé, lève-toi, pars dans la voiture, mais avant excuse-toi auprès de madame. Je me lève et quand je passe auprès de la serveuse mon bras frôle son sein me faisant frisonner, oubliant les excuses. Pour aller attendre dans la voiture il aurait fallu que j’aie les clefs aussi je m’appuie sur l’aile avant. Je vois Suzette sortir de l’office et allumer une cigarette. En me voyant elle s’approche de moi. • Monsieur Julien c’est bête vous voila puni à avoir voulu jouer les intéressants, vous êtes bien comme mes fils. • Vos fils ils ont de la chance d’avoir une mère aussi jolie, vous avez de beaux seins. • Vous exagérez monsieur, je vais aller le dire à votre père. • Rapporteuse, jolie mais rapporteuse. J’ai conscience que je suis odieux mais depuis quelques mois, moi qui étais un garçon timide j’ai pris la résolution de gommer cette tare ...
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