1. L'enfoutreur (2)


    Datte: 17/01/2019, Catégories: Gay

    ... trou. Si bouffer un cul est agréable, il faut bien reconnaître que ce n’est pas l’idéal pour dégager son champ de vision et voir ce qu’il se passe autour. En me redressant pour le ré attirer vers moi, je vis que trois garçons avaient baissé leur froc et se branlaient doucement. D’habitude quand des mecs se trouvent la bite à l’air simultanément, ils comparent. C’est plus fort que nous. Mais là ce ne fut pas le cas. J’en conclus que les mecs s’étaient déjà branlé ensemble et je commençai à croire que, pour plus d’un d’entre eux ce n’était pas suffisant. Le dépucelage de Billa n’était peut-être qu’une circonstance créée pour faire sauter les digues. Je me remis sur le trou de Billal qui ne put résister longtemps. Il s’empoigna la bite pour commencer à se masturber à son tour. - Qui veut se faire lécher le cul maintenant ? vous voyez que ça à l’air bon. - Ouais....ouais.... mais attention.... c’est juste pour essayer... allez pas croire... dit Daoud. - Aller Billal, fais plaisir à ton pote. - Crève Daoud ! Sale bâtard. - Tu parles pas comme ça à mon frère, intervint Aziz qui se rapprocha. Son short était tendu à mort. Aziz est baraqué, l’autre ne répliqua pas. - Passe-moi le gel toi... oui là, sur le fauteuil dans mes fringues...Oui. Je passai deux doigts dans l’orifice, m’enduisis la bite consciencieusement et commençai la pénétration tout en douceur. Billal avait mal. Il geignait mais était trop orgueilleux sans doute pour me dire d’arrêter. Tout le monde désormais était ...
    ... pantalon sur les chevilles. L’un des garçons remarqua - T’as vu Driss il a pas le bout coupé. Presque tous les regards convergèrent vers le sexe épais de Driss, qui tenait droit devant lui et qui était effectivement protégé par un épais prépuce. Cela ne fit que confirmer ce que je pensais, tous ces mecs se connaissaient déjà la queue, à l’exception du dernier dont seul Daoud, qui n’avait pas tourné la tête, semblait connaître son intégralité. Ça bandait grave et ça commençait à sentir le mâle. La chaleur montait, las sueur perlait sur les poils des torses, des pubis et sous les bras. Les mecs se touchaient, les peaux frôlaient les peaux, l’atmosphère devenait électrique. Tous ces mecs avaient envie de baiser et personne n’osait encore l’avouer. Ce n’était qu’une question de temps, juste ce qu’il fallait pour faire tomber les inhibitions. Je fis s’allonger mon amant sur le canapé, lui écartai les cuisses et retentai une pénétration face à lui. Je commençai à l’embrasser, il s’y refusa. Aziz qui était complètement excité maintenant lui enserra la mâchoire en lui intimant l’ordre de se soumettre. Il le fit. Et, comme pour le cul, se laissa aller à l’abandon d’une langoureuse galoche, Ma bite frappait toujours à son cul, je la reculai, l’avançai, détendis les chairs. Désormais il m’avait agrippé et serrait très fort ses bras autour de moi. Je lui arrachai un cri quand mon pénis rentra tout entier. Alors je me mis à aller de plus en plus vite. Je m’étais relevé pour le prendre debout. ...