Océane ou la découverte d'une femme (5)
Datte: 17/01/2019,
Catégories:
Divers,
En une après-midi, sans ne rien faire d’autre que de vider ma cuisine de tout son contenu, de tout nettoyer à fond et tout ranger, Océane fait un miracle. Devant son corps sale, je m’agenouille, posant sa cuisse gauche sur mon épaule droite, je me mets à lui lécher son sexe malodorant. Je ne sais pourquoi, mais ce gout, cet arôme de sale, tout cela m’excite. Je ne tarde pas à la coucher et lui faire l’amour en guise de remerciement pour son travail. Même très sale, le corps de mon Océane est encore parfait. Je la délivre de ses entraves et, dans le feu de l’action, l’autorise à me fesser. Là, sa main claque divinement sur mes fesses, je l’encourage, je bande à nouveau, m’enfonce dans ce sexe éclot telle une fleur à la rosée du matin. Sa main claque et j’aime ça, c’est la toute première fois que je me fais fesser et putain que c’est bon. Nous jouissons ensemble, notre bonheur se laisse entendre loin à la ronde. Épuisée, je nous retourne, recouvre son visage, sa poitrine de mes baisers les plus ardents. Je suis fou de cette jeune femme de 24, moi, le vieux de 42 ans. Nous ne nous arrêtons pas là, sur mon lit, nous baisons jusqu’à épuisement. Dès mon réveil, tout est redevenu à la normal, Océane est parée de ses entraves et me nettoie mon petit donjon. Le temps d’une douche, d’une tartine, j’enclenche mes caméras. Je ne parviens même plus à la regarder sans ne pas bander comme une bourrique. Moi qui pensais être blasé, je ne l’étais pas. Cette petite Océane m’avait réveillé, ...
... oui, c’est exactement ça, réveillé. C’est comme si je retrouvais une seconde jeunesse. Plus je l’observe, la dévisage, plus j’ai envie de l’épouser sans attendre. Dans la cuisine, en fin de matinée, Océane nous prépare le repas, un repas dont elle possède elle seul le secret. Mais, pour le manger, elle me réserve une belle surprise en s’empalant sur ma queue tendue et me donnant à manger par sa bouche. Le soir, sur son corps, j’attache une longue corde, un bondage. Ensuite, je lui fais mettre une paire de bas noire auto-fixant et son long manteau. Outre ses chaussures à haut talon, je la pare d’un collier de cuir et d’une longue laisse. Je revois, sur son visage, celui des premières heures en ma compagnie. Je revois cette fille inquiète, timide à souhait. Dans la rue, en laisse, elle me suit, docile, ses mains dans son dos. Nous passons sur une passerelle qui enjambe une route à grand trafic. On est vendredi et cela circule dans le sens du weekend. Au beau milieu, je la mets devant la rambarde du pont. Je me colle à son dos, ouvrant son manteau, dévoilant son corps aux automobilistes. La lumière des candélabres fait le reste. Plusieurs freinent sans pour autant s’arrêter. Nous restons ainsi une bonne demi-heure pendant laquelle je la caresse, l’embrasse jusqu’à ce qu’elle jouisse longuement et si merveilleusement. Enfin, je pose ses mains sur la barrière, la penchant un peu en avant. Je dégage mon sexe déjà tendu et la pénètre tendrement. Nous baisons ainsi. Je veux l’entendre ...