Noémie 5 - Histoires de Sexe

Noémie 5

... submergeait, et je poussais de grands cris encore et encore. Noémie me regardait dans les yeux et souriait en me voyant prendre de plus en plus mon pied. Elle se mit à se déhancher de gauche à droite, malmenant mon sexe comme jamais gémissant à fond en se tenant les cheveux. Puis, elle retira son haut, se dénudant totalement, et se mit à bondir sur mon sexe faisant rebondir ses seins en même temps. Cela m'excita au plus haut point, et je ne pus rester inactif plus longtemps. Je la saisis par les hanches, et la renversai sans ménagement, passant au-dessus. Je la pris en missionnaire sauvagement, allant et venant à grande allure en elle. Noémie passa la main dans mes cheveux pour me coller plus étroitement à elle, haletant de plaisir. Je mis ses jambes autour de mon dos, et la pris avec plus de force, allant plus loin encore en elle, transformant ses soupirs en hurlement. Je décidai ensuite de la retourner, et de la prendre en levrette avec force. A quatre pattes sur son lit elle se tenait aux draps relevait la tête en gémissant, savourant l'intense plaisir que ma queue qui la limait encore et encore, lui procurait. Je la tins par les cheveux, et lui tirai la tête en arrière pour qu'elle me regarde ...

... dans les yeux. Elle me lança un regard de chienne en chaleur, et me fit le sourire qui allait avec. Je l'étalai de tout son long contre le matelas, l'allongeant sur le ventre, et sauvagement, je la sodomisai. Je m'enfonçai dans son beau petit cul si rond et étroit, et avec délice, j'allais et venais dedans la paralysant sous une brusque poussée de plaisir. Je lui pris le cul pendant un bon moment, l'écrasant contre le matelas, embrassant son dos et sa nuque en même temps, la faisant gémir à fond alors que ma queue allait toujours plus loin dans son trou. Lorsque je me sentis frémir, et que je compris que l'orgasme était proche, j'accélérai soudainement faisant hurler Noémie plus fort que jamais. Le plaisir m'assaillit en une vague brutale, je serrai les dents, tâchant de le contenir, mais je ne pus tenir beaucoup plus longtemps. Noémie et moi eûmes un délicieux orgasme, qui nous fit chavirer en même temps. Je m'écroulai sur le matelas, vidé et heureux. « Ta mère a rien entendu ? » « Elle est dans son jardin. » « Mais... » « Mais elle sait que je suis pas une none, c'est bon elle est cool. » Je souris, rassuré et lançai à Noémie. « C'était excellent. » Elle me fit un petit bisou. « Oui, j'ai adoré ! »