1. Inceste ? Pas inceste ? 2


    Datte: 19/01/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    Nous avons terminé nos visites. Robert notre chauffeur est au volant de la limousine. Gérard souhaite m’entretenir et a fermé la vitre de séparation entre les compartiments. Je maintiens sa main au niveau de mon genou et je lui fais les gros yeux. Décidément il a gardé toute sa verdeur et serait capable de me culbuter sur les sièges arrière si je lui en accordais l’autorisation. Il ne renoncera jamais; je ne céderai pas aussi longtemps qu’il ne se sera pas plié à mes ordres. Il le sait, mais tente sa chance en espérant un moment de faiblesse. Qui sait, on ne peut pas être sur ses gardes constamment. Des fois que la main atteigne la fournaise, il serait l’heureux vainqueur de ma rigueur…Sa main refoulée, il change de registre ; - Bien, ce soir nous regagnons notre famille. Quelle conduite réserves-tu à Alain ? - J’aimerais l‘éviter pour le moment. Pourrais-tu me déposer chez mes parents, je voudrais réfléchir au calme. - Ne décide rien sous le coup de l’émotion. Il est dans la nature de beaucoup d’hommes de batifoler. Beaucoup de femmes s’en accommodent, ferment les yeux…Sur la durée, ce peut être bénéfique pour le couple. - Je ne suis pas de cette trempe. Je pense divorcer. - Tout de suite les grands mots, le recours à l’extrême. Écoute mon conseil : tu continues à vivre sous le même toit, mais tu le chasses de ton lit. Faites chambre à part. Ainsi Alain servira de paravent à nos rencontres amoureuses. Personne ne soupçonnera notre liaison. - L’idée du paravent est bonne. ...
    ... Oui. Nous restons mariés officiellement, je refuse les rapports sexuels, il n’entre plus dans ma chambre … et toi et moi restons amants. Tu es génial. Mais mon mari mérite un châtiment bien plus sévère. Il doit souffrir et je vais m’employer à le punir sans pitié. M’aideras-tu ? - Je t’ai promis d’être dévoué. Tu es dure avec moi en m’imposant de m’opposer à mon fils. - C’est comme tu veux. Mais alors, si tu te défiles, oublie moi. - Tu sais que je ne pourrai plus me passer de toi. Tu m’as rendu ma vigueur et mon goût de vivre. Commande et j’obéirai. Je t’aime, je te désire et je te veux. Il me faut mes deux mains pour stopper la progression de la sienne entre mes cuisses. Je lui rappelle ma promesse : - Je n’en attends pas moins de toi. Tu sais quelle sera ta récompense : je t’appartiendrai. - Ô , ma divine. Vivement. Il semble réfléchir puis reprend : - Donc je te dépose chez tes parents. Nous avons bien travaillé. Je t’accorde une journée de repos. Demain, sois dans mon bureau à 17 heures. Ce sera pour une mise au point importante. Nous arrivons; embrasse-moi. C’est un baiser long, plein de promesse. Si avec ça Gérard ne bande pas… On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre. J’aurai besoin de mon beau-père, j’entretiens sa passion récente, mais je contiens ses élans. Je suis un peu salope, mais quand je me compare à mon mari, je me trouve « normale ». Ma mère est seule. Je lui raconte mon succès professionnel au côté de mon patron. J’omets bien entendu de parler de nos ...
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