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La soubrette coquine
Datte: 19/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme
Certaines rencontres vous marquent plus que d'autres. Ca arrive une fois de temps en temps et ça provoque en vous un raz de marée d'émotions et de sentiments que vous pensiez ne plus pouvoir éprouver pour quelqu'un. J'ai rencontré Anton (prénom d'emprunt) il y a 2 ans lors d'une après-midi "Translips" à Anvers. Nous avions tenté ce jour-là une approche mais le fait de "faire ça" devant tout le monde lui coupait un peu ses moyens. Je l'avais alors retrouvé à la salle de bains/vestiaire au moment où il décidait de partir et là, à l'abri des regards, nous étions parvenu à nos fins. Je m'en souviens comme si c'était hier. J'étais debout, jambes écartées et les mains en appui sur le bord de la baignoire. Lui me prenait tout en profitant pleinement de la scène au travers d'un grand miroir. Au final je m'étais agenouillée devant lui et il avait joui dans ma bouche avant que j'avale tout en le regardant droit dans les yeux. Depuis ce jour, nous sommes resté en contact mais nous n'avons pas eu l'occasion de nous revoir car il vit à 120kms de chez moi et qu'il a des horaires de travail un peu décalés qui lui laissent peu de liberté pour les sorties, que ce soit en journée ou en soirée. Mais il y a quelques mois, nous nous sommes retrouvés au New Ridderhof, un club libertin situé en Flandres. Les choses se sont bien passées, une fois de plus et nous avons pris rendez-vous au même endroit le mois suivant. Au terme de cette 2ème soirée en club, Anton me fit comprendre qu'il aurait aimé ...
... passer un moment avec moi en tête à tête, dans un autre contexte qu'un club libertin. Je me suis alors mise en quête d'un endroit qui pourrait convenir et j'ai choisi de réserver une nuit dans un appartement situé non loin de la gare du midi à Bruxelles. Cet endroit présente plusieurs avantages : c'est situé non loin de chez moi, c'est propre, moderne et spacieux, relativement bon marché, et chaque appartement est muni d'un grand lit, de plusieurs confortables divans, et d'un coin cuisine, entre autres. Il accepta de me retrouver là. Anton me rejoignit à 17h et m'embrassa tendrement avant de détailler ma tenue. Je lui avais demandé lors de nos échanges pour préparer cette rencontre s'il aimait les uniformes et il m'avait répondu positivement. C'est donc en "french maid" que je l'accueillis et je sus directement que j'avais fait le bon choix. "Tu veux boire quelque chose ?" "Avec plaisir, un verre de vin blanc si tu as ça" Le cubis était déjà bien entamé (j'étais arrivée quelques heures avant lui à l'appart) mais il en restait suffisamment. Nous nous asseyons dans le plus grand des divans et discutons un peu mais Anton a les mains baladeuses, c'est plus fort que lui. Il est tombé amoureux de mes formes généreuses le jour de notre rencontre 2 ans plus tôt. Il m'a déjà expliqué plusieurs fois que d'habitude il est attiré par les petits culs menus mais que dans mon cas particulier, mon fessier plus charnu exerce sur lui une fascination sans limite. D'ailleurs j'ai déjà remarqué que ...