Retour à Paris
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
extracon,
amour,
vengeance,
Masturbation
Oral
fist,
pénétratio,
fantastiqu,
attirautr,
... se reposer. Yolaine trouve que sa sœur exagère d’être allée se coucher avant même que son invité soit parti. Tandis qu’elle range les courses, Bernard engage tranquillement la conversation demandant à la jeune femme des nouvelles de ses études. Plus les minutes passent plus cette dernière devient nerveuse. Elle pâlit, la sueur perle sur son front. Prenant l’air inquiet Bernard demande : — Tu es toute pâle. Ça va ?— Ce n’est rien, un peu de fatigue probablement, avec Iris nous avons été à une fête hier, et on s’est couchées très tard ou plutôt très tôt.— Tu devrais aller te reposer. D’autorité, il la prend par le bras et l’entraîne vers sa chambre. Une fois dans celle-ci c’est un copié-collé de ce qui s’est passé avec Iris. Yolaine montre autant d’ardeur que sa sœur à sucer et se faire baiser durant les deux heures suivantes. Si Yolaine, contrairement à Iris, ne s’endort pas, elle attend, en se demandant ce qui lui a pris, que Bernard ait pris sa douche et se soit rhabillé pour aller se laver. Il la salue : — Au revoir ! Je ne t’embrasse pas, je devrais me relaver, tu es un peu… poisseuse. Elle ne répond que d’un « au revoir » où transparaissent toutes les interrogations qui l’agitent. Elle va pour prendre sa suite dans la salle de bains, c’est le moment que choisit Iris pour sortir de sa chambre. Bernard ne s’attarde pas et s’éclipse, préférant, malgré la curiosité, ne pas être présent pour les explications. Les deux sœurs se regardent. Leur apparence ne leur laisse aucun ...
... doute. Toutes deux sont couvertes de foutre des cheveux, presque jusqu’aux pieds. Elles réalisent ce qui vient de se passer et chacune peut lire sur le visage de l’autre son propre étonnement et sa propre gêne. Pour rompre le pesant silence qui s’installe, Iris lance : — Toi aussi, tu as… avec lui ?— Je ne savais pas pour toi. Je ne savais pas que tu t’intéressais à lui.— Je ne m’intéresse pas à lui.— Alors pourquoi tu l’as invité à monter te baiser ?— Je ne l’ai pas invité pour qu’il me baise comme tu dis, mais pour prendre l’apéro pour le remercier de m’avoir raccompagnée… et… brusquement j’ai eu envie. Je n’ai pas pu me retenir, plus rien d’autre ne comptait. Je l’ai embrassé et me suis déshabillée. Et toi ?— Quand je suis rentrée avec les courses, il m’a aidée à les porter dans la cuisine. J’ai eu une sorte de coup chaud. Il m’a conseillé d’aller me poser. Une fois dans la chambre, j’ai moi aussi eu envie…— Qu’est-ce qui nous a pris ? Nous sommes devenues folles.— Nous avons été hypnotisées !— Et pourquoi pas envoûtées pendant tu y es.— Il y a quelque chose de pas normal dans ce qui s’est passé. Il nous a droguées.— Comment aurait-il pu nous droguer ? Je n’ai rien mangé ni bu depuis mon arrivée ici. Et toi ?— Moi non plus… À part du foutre.— Il y a quand même des choses surprenantes. La résistance de Bernard. Il n’est pas fréquent qu’un homme puisse baiser sans discontinuer pendant des heures, surtout à son âge… et la quantité de foutre qu’il a émise. Regarde, on en est ...