1. Retour à Paris


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, hplusag, couple, extracon, amour, vengeance, Masturbation Oral fist, pénétratio, fantastiqu, attirautr,

    ... t’en félicite.— Vous avez un moyen de me débarrassez de cette malédiction, dit-il plein d’espoir.— Non. Il y a quelque chose que je peux te dire, Dans certains cas tu pourras, comment dire… annuler l’effet de ton contact sur une femme.— Comment ? dit-il plein d’espoir.— Comme pour faire cesser le charme avec celles que tu as engrossées, en le voulant.— En le voulant ?— Oui, mais il y des conditions.— Lesquelles ?— Eh bien… il faut que tu aies fécondé un certain nombre de femmes auparavant.— Que j’ai… Combien ?— Cela dépend, à la fois du nombre et du temps écoulé depuis la chose. ********** Sur ces paroles, elle disparaît, le laissant perplexe. Il résume que toute femme remplissant les conditions qu’il touche sera attirée. Si c’est avec la volonté, pas de remède et effet rapide, si c’est involontaire, effet plus lent, mais possibilité de refuser, à condition d’avoir œuvré à la croissance démographique dans des proportions à définir. Donc, plus il tarde à officier, moins il a de possibilité d’annuler l’effet de son toucher. C’est la quadrature du cercle. Il est arraché à ses sombres pensées par son téléphone. — Allo Monsieur Lemua ?— Oui.— Ici Isabelle, Isabelle Talmade l’infirmière. Je vous téléphone pour vous dire que je suis enceinte. C’était impossible et je suis enceinte. Je n’y croyais pas. C’est merveilleux.— Je suis ravi et j’ai aussi une autre bonne nouvelle pour vous, enfin je crois. J’ai eu de nouveau une apparition et j’ai appris que, si c’est moi qui vous ai ...
    ... fécondée, le père est votre mari.— Bien sûr c’est notre enfant. Je n’ai pas l’intention de le quitter.— Tu ne comprends pas ce que je veux dire. Bernard est passé inconsciemment au tutoiement. — Alors quoi ?— Je veux dire que biologiquement, génétiquement ton mari est le père.— C’est impossible.— Aussi impossible que d’être enceinte. Un long silence répond à son affirmation, puis il entend la voix d’Isabelle qui s’adresse à une personne qui doit être à ses côtés. — Alors c’est encore plus fabuleux.— Qu’en est-il de ta collègue ?— Pour l’instant, silence radio. Dès que j’apprends quelque chose je te téléphone. Au revoir et… merci.— Au revoir. Ce coup de téléphone remonte un peu le moral de Bernard. Au moins tout cela a-t-il rendu quelqu’un heureux. À peine a-t-il raccroché, que le téléphone sonne de nouveau ; c’est Marion : — Allo Bernard, bonjour. Es-tu chez toi ?— Euh… Oui.— Je suis dans le coin, je monte. À tout de suite. Il n’a pas le temps de dire ouf qu’elle a déjà raccroché. Il va pour la rappeler pour lui dire qu’il ne se sent pas bien, quand on sonne à la porte. Il s’affole. On insiste. Il ne peut la laisser dehors, elle va finir par ameuter l’immeuble. Il se décide à lui ouvrir. Elle est devant lui, grande avec son presque mètre quatre-vingt, sa crinière brune qui lui descend sur les omoplates et des yeux couleur « huître ». Elle atteint les trente ans, il a vingt-cinq ans de plus qu’elle. Ce sont des goûts communs et des affinités intellectuelles qui les ont d’abord ...
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