1. Retour à Paris


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, hplusag, couple, extracon, amour, vengeance, Masturbation Oral fist, pénétratio, fantastiqu, attirautr,

    ... abondamment. Cependant, il reste raide et ça n’interrompt pas là sa chevauchée. Il pense que cet épanchement rapide doit correspondre à la finalité de l’action, c’est-à-dire la procréation. Une fois cela assuré, le reste est pour le plaisir. Il s’est d’ailleurs interrogé, qu’une fois la femme engrossée, il n’est pas logique qu’il puisse continuer à baiser pendant plus de deux heures et émettre une telle quantité de foutre, devenue « inutile » puisque la fécondation est faite. Pour l’heure, il s’en moque. Il travaille, un peu rudement même, la directrice, mais c’est à leur contentement réciproque. Il décharge, toujours à profusion, plusieurs autres fois, dans son con, mais aussi sur ses fesses, son ventre, entre ses seins, dans sa bouche, sur son visage. Il sent une soif inextinguible commencer à le harceler, tandis qu’il la baise une nouvelle fois sur son bureau où tous les papiers ont été éparpillés dans leur frénésie. Il avale la petite bouteille d’eau de la directrice, mais cela ne suffit pas. À regret, il va falloir impérativement qu’il aille boire. Il eut volontiers continué à besogner cette enquiquineuse, surtout qu’elle a l’air partante, mais nécessité fait loi. Il décharge encore une fois. Il se met debout. Il hésite un moment et malgré la soif, il fait s’agenouiller Anne et d’un ton péremptoire en lui présentant sa queue maculée : — Léchez, Madame la directrice, que ce soit aussi propre qu’un sou neuf. Elle se met à l’œuvre avec zèle. Pendant cinq minutes, elle ...
    ... nettoie le sexe et jusqu’aux cuisses de Bernard à coups de langue. Le résultat est nickel. Comme elle n’a pas l’air de vouloir s’arrêter, il l’interrompt : — C’est parfait, Madame la directrice, vous avez bien travaillé. Il se retient d’ajouter : « une fois n’est pas coutume ». Il ramasse la culotte de la jeune femme, la seule pièce de vêtement encore présentable et s’essuie avec. Après cela il se rhabille. Durant cela, elle ne bouge pas. Il ouvre la porte et avant de quitter le bureau lance : — Au revoir, Madame la directrice. Il n’y a pas que pour discourir que vous savez vous servir de votre langue. Il n’y a d’ailleurs pas que d’elle dont vous savez faire usage. Nous reparlerons de la vente aux enchères plus tard. Je reste à votre disposition. Il se tourne vers la secrétaire qui le regarde les yeux exorbités :— Bonne journée. Madame Ladigo est un peu fatiguée. Elle s’est beaucoup donnée. Sitôt qu’il a disparu par l’autre porte, Valériane se précipite dans le bureau d’Anne. Celle-ci est toujours à genoux, commençant seulement à revenir à la réalité. Valériane est atterrée en voyant son amie et néanmoins patronne. Elle ne comprend pas. Comment a-t-elle pu se conduire ainsi ? Passer plus de trois heures à baiser avec l’un de ses subordonnés. Qui plus est, avec l’un des conservateurs les plus récalcitrants, alors qu’elle l’aurait volontiers envoyé au diable si elle l’avait pu. Faire ça dans son bureau et en plus peu discrètement ? Heureusement qu’elle a pu éconduire les rares ...
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