Une plage pas si déserte que ça
Datte: 16/06/2017,
Catégories:
f,
hh,
hbi,
jeunes,
inconnu,
copains,
vacances,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
nopéné,
init,
prememois,
inithh,
... répondis : — Un peu, oui.— Un peu, c’est tout ?— Ben quoi, ça n’a rien d’extraordinaire, mentis-je.— Putain, t’imagines, elle se met le doigt dans le vagin, elle va-et-vient doucement, de temps à en temps elle sort son doigt et se le lèche, trop bon. Et puis ces seins, trop beaux, je me vois les sucer… À cette évocation, mon érection reprit de plus belle. Je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher : — Arrête ! Il me regarda avec un sourire énigmatique et me demanda : — Pourquoi ? Je dus lui avouer que je bandai comme un cerf. Comme nous étions toujours sur le ventre, il me demanda à voir, je refusai. Il se mit alors sur le côté et je vis la forme de son sexe bien visible sous l’étoffe de son bermuda. D’une voix plus autoritaire, il me dit : — Allez, montre-moi la tienne. Troublé et terriblement excité, je fis comme lui et me mis sur le côté. Il regarda intensément ma verge à travers mon short, puis il approcha sa main et la posa dessus. J’eus un mouvement de recul. — Eh, c’est pas la tienne ! Laisse-la tranquille. Occupe-toi de ta bite.— Tu veux la voir ?— Pas chiche. Sans rien dire, il ouvrit lentement sa braguette, releva le pan de son short et sa verge bandante apparut. Sans en éprouver de la jalousie, je me dis qu’elle était cependant plus imposante que la mienne. Je réalisai que c’était la première fois que je voyais un autre sexe en érection que le mien. Il se passa le doigt doucement sur le bout du gland luisant, puis fit des petits cercles avec l’index. Je ne pouvais ...
... détacher mon regard de ses caresses. Il dit : — Elle est belle, non ? Je bafouillai : — Pas mal…— Viens la toucher.— Fais pas chier !— Allez, vas-y ! Elle va pas te mordre, juste ça, la toucher. C’est grâce à moi, après tout, qu’on a eu droit à ce beau spectacle. L’argument était spécieux, mais malgré tout je craquai. Je le regardai, mon cœur battait la chamade, j’avançai alors la main, puis posai mon doigt sur le bout humide. La sensation était étrange et je la retirai aussitôt. — Ça compte pas ! Mieux que ça. Je pris alors son sexe à pleine main et restai ainsi sans bouger. Je le sentais palpiter, Alexandre fermait les yeux. Au bout d’un moment, il les rouvrit et dit : — Tu sais ce qui me ferait vachement plaisir ? Et après je t’embête plus… ce serait que tu l’embrasses. Sans lâcher son sexe, je lui réponds : — Et pourquoi pas une pipe, tant que tu y es ?— Non, juste une bise dessus et je t’emmerde plus. Je sentis soudain qu’en cette circonstance particulière, il avait un véritable ascendant sur moi. J’étais partagé entre la peur de l’interdit et l’excitation provoquée par ce même interdit. Et puis je découvrais que ça me plaisait, alors après tout… Je m’approchai de son sexe et posai mes lèvres sous sa hampe. Ce fut un bisou délicat, presque pudique. — Sur le bout, dit-il. Sans tergiverser ce coup-ci, je recommençai comme il me le demandait. Avec le bout de la langue, je goûtai la perle de liquide séminal qui pointait sur son méat. Ça avait un goût assez neutre, légèrement salé. ...