Le voyage de noce de papier africain
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
jeunes,
couleurs,
extracon,
grossexe,
bain,
voyage,
fsoumise,
jalousie,
cérébral,
noculotte,
Oral
confession,
occasion,
extraconj,
nature,
... quelconque plaisir ! Je rumine mon sevrage une bonne partie de la nuit : comment obtenir de Tim qu’il pense aussi à moi dans nos ébatsconjugaux ! La nuit a été courte, et il ne fait même pas jour lorsque nous montons dans les véhicules pour ce premier jour de chasse. À l’avant de la jeep, Moussa qui conduit, et Dino. À l’arrière, je suis coincée entre Tim et l’un des pisteurs ; l’autre se tient debout sur le pare-chocs arrière. Le camion nous suit avec d’autres boys et du matériel. J’ai mis un soutien-gorge à armature pour éviter que mes seins dansent la samba au gré des cahots de la piste. L’attention redouble alors qu’apparaissent les premières lueurs de l’aube. Il faut repérer si des animaux ont laissé des traces en traversant la piste et, le cas échéant, descendre les examiner. Peu à peu, le jour se lève, et nous apercevons de gracieuses gazelles et des zèbres placides autour de nous. Je tente quelques photos, mais Dino refuse de ralentir. Soudain, les deux pisteurs crient simultanément. Ils désignent des traces que j’arrive à peine à distinguer. Nous descendons pour les analyser, et les pisteurs s’éloignent. Ils s’arrêtent, nous hèlent ; nous approchons, et le plus âgé trempe ses doigts dans une énorme bouse. J’interroge Tim pour savoir ce qu’ils font, mais Dino me commande le silence et me jette un regard noir. Nous remontons dans la jeep et repartons. Dino me tance sèchement : — Carole, si vous parlez ou faites le moindre bruit, nous vous laissons dans le camion qui ...
... suit !— C’étaient des buffles, poursuit Tim, mais ils avaient trop d’avance pour que nous puissions les rattraper. Si leurs déjections sont froides, ils sont déjà loin. Il faut qu’elles soient chaudes pour que nous les pistions. Par deux fois par la suite, ce manège se répète. Enfin, les crottes doivent êtrechaudes car les armes sont descendues du camion. Les deux pisteurs, puis Tim, puis Dino s’engagent. Je suis sommée de rester avec Moussa, son collègue et les boys. Au bout d’un moment, ceux-ci me font signe de les suivre, et nous abandonnons chauffeurs et véhicules. Les boys se parlent en chuchotant, je me sens à l’écart. J’essaie de leur parler, leur anglais est quasi inexistant. Ils me montrent une direction, je scrute à l’aide de leurs jumelles, et ne vois rien. Nous progressons par à coup, sans direction fixe. À un moment, alors que nous passons sous un arbre, des cris atrocement aigus retentissent. Je sursaute violemment et en pousse un du même type. Les boys éclatent de rire en me montrant une famille de singes qui, dérangée dans sa sieste, part au galop. La poursuite dure maintenant depuis plus de deux heures, j’ai souvent soif, les boys me passent leur gourde. Nous communiquons par signes, parfois je les fais rire. La séquence la plus drôle a lieu lorsque je tente de m’isoler pour soulager ma vessie. Un des boys me rattrape par le bras pour me ramener près d’eux, selon les instructions reçues. Pour les convaincre de me laisser un peu d’intimité, je fais signe d’ôter ...