1. Le voyage de noce de papier africain


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, hplusag, hagé, jeunes, couleurs, extracon, grossexe, bain, voyage, fsoumise, jalousie, cérébral, noculotte, Oral confession, occasion, extraconj, nature,

    ... s’affermissent en même temps que lui, et lorsqu’il se dresse de son viril orgueil, je l’enjambe, et, dos tourné à lui, le glisse au fond de moi et entame prestement la chevauchée des walkyries. Tim s’est éveillé, ses doigts compriment mes seins, je m’agite sur lui, le plaisir monte en moi, je crie, et je deviens fontaine. Il rugit à son tour, et me lâche sa semence. Je m’affale sur lui, trente-cinq ans nous séparent, mais nos corps sont unis. Évidemment, j’ai une tête de papier mâché lorsque nous nous réveillons le lendemain matin, et Tim assiste avec intérêt aux détails de ma toilette intime tout en me houspillant pour le retard que je lui fais prendre. — Ah, les petites femmes françaises ! me dit-il en français, avec un accent à couper au couteau. Notre avion taxi est digne d’Out of Africa. Pour des raisons de poids, Tim est assis à côté du pilote, un grand anglais style Major Thomson, et je suis derrière à côté de Dino, toujours aussi peu aimable. Pendant deux heures, nous survolons forêts et savanes, c’est magnifique, bien que certains trous d’air m’arrachent des cris de terreur qui agacent mon voisin. Le pilote signale par moment des animaux que malheureusement je n’arrive pas à voir. Nous nous posons sans encombre dans un nuage de poussière, et une horde de gamins déguenillés courent vers nous alors que les hélices de l’avion tournent encore. Deux véhicules nous attendent, l’un pour les valises et le ravitaillement, l’autre pour nous. Leurs chauffeurs sont de grands ...
    ... Noirs, le nôtre attire particulièrement mon attention. Il mesure en effet plus de deux mètres, et est d’une minceur incroyable. Son nom est Moussa, et il me gratifie d’un sourire que le contraste entre ses dents blanches et sa peau très noire rend particulièrement rayonnant. Après quelques courses sans intérêt pour moi dans Balaway, cité genre western-spaghettis avec des Noirs pour figurer des Indiens, nous prenons la direction du lodge de chasse, à 200 km de là en jeep. Le petit camion 4x4 entièrement découvert nous suit avec les valises. La chaleur est encore plus lourde qu’hier, l’air conditionné de la jeep faiblard, mais il est impossible d’ouvrir les fenêtres en raison du nuage de poussière que nous soulevons et qui semble nous rattraper. Nous croisons parfois des camions avec des gens juchés jusqu’au-dessus de la cabine. Tim transpire et j’ai vite épuisé ma provision de Kleenex pour l’essuyer. Au bout d’une heure de route, nous bifurquons dans une piste plus étroite, semée de trous et devons parfois traverser des rivières. En raison de la chaleur, je n’ai pas mis de soutien-gorge. Je le regrette, car j’ai les seins qui tressautent avec les cahots de plus en plus prononcés au fur et à mesure que nous nous enfonçons dans la savane. Par deux fois, je capte dans le rétroviseur le regard gourmand de notre chauffeur sur ma poitrine, dont il suit avec intérêt les tressautements. Je suis contrainte de croiser les bras. Lors de la traversée d’un gué, nous restons coincés, le moteur ...
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