Un certain jeudi
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
grossexe,
noculotte,
Oral
pénétratio,
... mis les pieds, mais dont on m’a dit le plus grand bien. Une bonne façon de tester si c’est vrai. Le cadre est pas mal, un zeste romantique, ce qui n’est pas un mal. Après avoir passé commande, j’entame la conversation : — Votre mari est-il au courant pour vous et moi ?— Il s’en doute quand même un peu… De plus, comme il avait le fan… Elle s’arrête sur place. Intrigué, je la relance : — Le fan… ? Le fantôme, non. Le fantasme de quoi ?— Je… j’ai rien dit…— Ne me dites pas qu’il a le fantasme d’être candauliste ?— Ben… un peu… Si je croyais en Dieu, je lui adresserais illico une petite prière de remerciement ! C’est alors qu’elle me raconte que Pascal, son mari, la poussait plus ou moins à découvrir d’autres queues, à condition d’être tenu au courant des incartades. Une fois sa confession finie, cramoisie, elle pique du nez vers la nappe. Très content de ce que je viens d’entendre, je donne mon avis : — Eh bé, c’est un sacré petit pervers, votre Pascal !— Il… il est complexé… son machin en action est nettement plus petit que le vôtre au repos, vous comprenez…— Peut-être, mais ce n’est pas la grosseur du machin, comme vous dites, qui fait le bon baiseur.— Ça vous va bien de dire ça, vous qui avez un machin énorme ! Je suis à la fois content et un peu frustré. Content car j’ai décroché un joli petit lot avec Sylvie, et frustré car je me suis aventuré en pays à moitié conquis. Mais la balance penche très nettement vers le fait d’avoir baisé ma chère secrétaire ! Et que je sens que ...
... ça va continuer, ce qui me met en joie ! — J’ai peut-être un machin énorme, mais ce n’est pas toujours évident ! D’où mes pantalons assez larges. Et je ne vous parle pas des femmes qui s’enfuient quand elles voient mon sexe ! Elle pouffe : — Il faut que je vous plaigne ?— Vous pouvez, vous pouvez ! Nos pizzas arrivent. Sylvie est une femme qui ne semble pas décidée à faire régime coûte que coûte, et je préfère nettement ça. Elle fait un sort à la pizza qui est dans son assiette. Je continue notre conversation concernant son mari : — En clair, votre mari désire être cocu, mais il veut le savoir.— Oui, il veut être cocu. C’est ce que vous vouliez, non ?— Oui, je l’ai dit hier, et je vais me faire un plaisir de lui faire plaisir en le cocufiant à chaque fois que je le pourrai.— Et mon avis dans tout ça ?— Allons, allons, il me semble que vous êtes consentante, non ?— On voit que c’est pas vous qui devez avouer ce genre de chose ! Ce n’est pas faux ; je reconnais que ce n’est pas facile à confesser, surtout quand le mari constatera qu’il prend le train en marche ! Je réfléchis, puis je propose : — J’ai une proposition à vous faire : le jour où vous lui avouerez avoir franchi le pas, demandez à votre mari de me téléphoner ; je lui expliquerai la situation et je lui offrirai sur un plateau ce qu’il veut.— Attendez, attendez ! Vous voulez faire quoi !?— Soyons pragmatiques : il veut être cocu, vous aimez jouir avec moi, j’adore vous baiser, donc il y a moyen de s’arranger. Si pour ...