Mon collègue ce gros coquin
Datte: 21/01/2019,
Catégories:
Gay
Cela fait deux ans que je suis dans la boîte, tout le monde sait que je suis gay, donc par moment j’ai des collègues hétérosexuels curieux qui me lancent des regards coquins, me fixent avec insistance. Parmi tous ces regards curieux, il y en a un qui attire mon attention. Un beau trentenaire, brun, joli fessier et oui j’aime mater les jolis petits culs de mes collègues masculins. En pause clope, j’accompagne une collègue, lui tire sa clope tout seul, nos regards se croisent. Ma collègue me fit signe que j’ai un admirateur, Moi très gêné car j’aime resté discret je lui demande de vite finir sa clope pour qu’on rentre. Le lendemain, je m’apprête à aller rejoindre ma collègue à la cafétéria et je reçois un appel donc j’y réponds et je suis courbé devant mon bureau, au même moment mon beau collègue passe derrière moi, me met une petite tape dans les fesses et me complimente sur mon fessier bombé. J’en fais part à ma collègue et qui me dis : « ce mec veut te pécho, en même temps tu es canon et il est canon fonce ». Et en face de nous, le beau brun trentenaire mange avec ses potes d’autres services, j’ai droit à des clins d’œil. Je sais au fond de moi que mélanger aventure d’un soir et boulot n’est jamais bon, ce mec hante mes nuits, dès que je le vois, je suis intimidé, il m’intimide beaucoup et me fait perdre tous mes moyens. Et un après midi, je vais aux toilettes, j’ai la vessie prête à exploser, je rentre et je vois ce beau mec sur l’urinoire, il me sourit la queue bandante ...
... et decoulinante de pisse à la main, je détourne mon regard tout gêné et je m’excuse. Je rentre direct dans les toilettes, j’entends toquer à la porte : « T’inquiètes mec, on est entre mecs, tu n’as pas à t’excuser, c’est comme si on était dans un vestiaire d’hommes. » Je lui réponds timidement : « Justement on est pas dans un vestiaire d’hommes mais dans les toilettes de l’entreprise, je ne voudrais pas que tu penses des choses sur moi. » Aïe, je n’aurais pas dû dire ça car il m’a direct relancé : « Ah oui ? Ouvre la porte s’il plaît ? » Je lui ouvre la porte. Il y rentre et referme vite. Il colle contre le mur, et me demande : « Que voudrais-tu que je pense de toi ? Tu as vu ma queue, et comment elle est contente de te voir. Ça fait depuis un bon moment que je t’ai remarqué, avec ta belle petite gueule, ton joli corps sexy que tu aimes mettre en valeur, et ce joli petit cul musclé et bombé, je n’arrive plus à endormir la nuit tellement tu hantes mes nuits, mes pensées. »Je suis paralysé de plaisir, de doutes, d’incertitudes, ce mec qui me fait tant rêver est devant moi, son sexe impressionnant a l’air, son regard dont je n’avais jamais vu la couleur des yeux vert marron, brillés de désir pour moi. Il m’embrasse, rentre sa langue dans ma bouche et la tourne dans tous les sens. J’empoigne ses couilles velues et les malaxe. Je déboutonne sa chemise et je baisse son pantalon. Je commence par embrasser et lécher son cou, son torse imberbe, son corps fin et légèrement poilu, son ...