Chambre pour étudiant - Option sperme (3)
Datte: 21/01/2019,
Catégories:
Trash,
Nicolas se réveilla en pleine forme ce jour là. Il avait l’impression d’avoir rêvé, mais la réalité était bien là. Non seulement il avait eu l’occasion d’épier les parents dans leurs ébats, mais pas plus tard que la veille, il éjaculait sur les seins de leur fille encore vierge. Jamais il n’aurait imaginé une si bonne fortune en emménageant ici pour ses études, et il espérait bien en profiter pour réaliser ses nombreux fantasmes encore inassouvis. Bien sûr, il n’était plus puceau lui même, mais ses rares partenaires ne lui avait accordé jusqu’alors que quelques coïts sans fioritures ni imagination. Lui qui rêvait de fellations, de gorges profondes et d’éjaculations faciales n’avait jamais eu la moindre occasion d’approcher son membre d’un visage ou d’une bouche féminine. Autant dire qu’asperger, le soir précédent, les seins magnifiques de la fille de la maison était déjà un accomplissement presque extraordinaire ! Mais il ne comptait bien entendu pas en rester là. Il s’habilla et descendit prendre son petit déjeuner. Marion terminait le sien, et évitait de croiser son regard. La mère de famille passa brièvement les saluer avant de partir travailler, le père était, lui, déjà parti. Elle était vêtue d’un tailleur assez ajusté, et Nicolas se remémora ses seins, ses fesses, et sa bouche serrée autour de la verge de son homme, le sperme ruisselant entre ses lèvres. Il fallait absolument qu’il trouve un moyen d’espionner à nouveau le couple en pleine action. Marion débarrassa son ...
... bol et remonta s’habiller. Nicolas expédia rapidement son petit déjeuner et remonta à son tour. Il alla directement frapper à la porte de la jeune fille. — Marion, je peux rentrer ? — Attends, je suis en train de m’habiller ! Sans hésiter, il ouvrit la porte et rentra. Marion le regarda d’un air stupéfait. Elle portait un soutien gorge mais n’avait pas encore mis de culotte, et Nicolas fixa son regard sur le sexe découvert. Elle le cacha brusquement derrière ses mains. — Mais je t’avais dit d’attendre, je suis à poil ! — Souviens toi que tu me branlais pas plus tard qu’hier soir, et que j’ai barbouillé tes seins de mon sperme. Alors ne fais pas ta prude et enlève ton tee shirt, que je puisse voir ta poitrine à nouveau ! — Je... oui mais... euh... Et puis j’ai cours ! Elle rougit fortement et ne bougea pas. — Souviens toi que tu m’as dit que tu ferais comme je veux. Je pense qu’il est temps de te donner ton deuxième cours. Elle resta figée quelques instants, puis enlevant ses mains de devant son sexe, elle releva son tee shirt et le fit passer par dessus sa tête avant de le jeter au sol. Elle était maintenant complètement nue devant lui, et il sentait déjà une érection monter. — Très bien, assieds toi sur le lit... Elle fit ce qu’il demandait. Il s’approcha et fit glisser son caleçon au sol, révélant sa verge déjà presque complètement érigée. Il était maintenant debout à côté du lit, son sexe à quelques dizaines de centimètres de cette bouche tant convoitée. Marion regardait ...