1. En Érinlande


    Datte: 21/01/2019, Catégories: fh, amour, Oral 69, pénétratio, historique,

    ... a rien entre Trevina et son petit fils. Elle est sa sœur de lait et si Liam est si souvent avec elle, c’est pour la réconforter, car Ardghal son fiancé a rejoint l’armée insurgée depuis bien des semaines et qu’elle n’a aucune nouvelle, alors que d’autres en ont reçues. Elle devrait la remercier, car sans elle la fille Tourter n’aurait pas réagi. Pour dire vrai, la grand-mère s’abuse quand elle pense que les relations entre Trevina et son petit-fils sont platoniques. Liam ne se contente pas de réconforter la demoiselle moralement, il l’apaise aussi physiquement. Au début bien sûr, les discussions des deux jeunes gens portaient sur les événements et le départ du fiancé. Le temps passant et l’absence de nouvelles rendent Trevina nerveuse, ce d’autant plus qu’Ardghal et elle ont pris de l’avance sur le passage devant Monsieur le Curé avant son départ. Elle avait apprécié la chose et elle lui manque. Un soir après la journée de travail, Liam passait non loin de la métairie des parents de Trevina, il croisa le père d’icelle, ils discutèrent un moment et il fut invité à boire un godet. Avant de s’asseoir, il demanda à s’asperger, car il avait moult transpiré. Il retira sa chemise et alla à l’abreuvoir. La jeune fille arriva à ce moment et s’installa au côté de son père. Quand Liam revint, le cidre fut servi. La discussion fut longue et animée, plusieurs fois les gobelets furent remplis. La nuit arrivait à grands pas, Liam salua la compagnie et s’en revint vers ses foyers. Trevina ...
    ... proposa de lui faire un bout de conduite. En chemin elle lui dit : — Hé ! Je t’ai regardé tout à l’heure à l’abreuvoir, tu as bien changé depuis que je t’ai vu faire ta toilette pour la dernière fois.— Nous n’avions pas dix ans. Je te regarderais faire la tienne, je te trouverais bougrement changée aussi.— Pas tant que ça. Un peu éméché, il se planta devant elle, posa une main sur un sein, le tâta comme pour en éprouver l’existence : — À l’époque… là, c’était plutôt plat. Elle aussi un peu pompette, ne fit rien pour retirer la main, elle se contenta de dire : — C’est vrai. Ce n’est que quand j’ai attrapé mes douze ans qu’ils ont commencé à pousser. Ils se remirent en route bras dessus, bras dessous. Dans la nuit tombante en traversant un bosquet, ils se prirent les pieds dans une racine et churent, membres entremêlés. Le cidre, le contact physique et la prise de conscience que le camarade de jeux n’est plus un enfant, produisirent une sorte de déclic. Ils se voyaient à peine, cela ne n’empêcha pas leurs lèvres de se trouver. Deux minutes plus tard, il troussa sa jupe et loin de s’en offusquer, elle écarta fort complaisamment ses adorables gambettes. Il n’eut aucun embarras à accéder à son con. Il y fut accueilli avec flamme. Ils mirent tant d’ardeur à leurs ébats qu’il dut bientôt se retirer pour se répandre sur ses poils. Un peu haletante, elle murmura dans un souffle : — C’est mal ce que nous venons de faire.— Alors, tâchons de faire mieux, cette fois. Elle ne protesta pas ...
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