1. Mon prof de français (3)


    Datte: 13/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... n’arrive pas à contenir les gémissements qui s’échappent de ma bouche. Malgré la tiédeur de mon lit, mes seins sont dressés d’excitation. J’ai l’impression que la vibration m’a réveillée immédiatement, mais sans doute a-t-elle commencé graduellement pendant que j’étais encore endormie, je ne pourrais pas être déjà aussi mouillée autrement ! Je pose un doigt sur mon clitoris, mais il est si sensible que s’en est presque douloureux. Roulant sur le ventre, j’enfonce la tête dans mon oreiller tandis que mon bassin s’agite dans un mouvement incontrôlable contre ma couette qui s’est (malgré moi!) glissée entre mes jambes. Mon réveil retentit bruyamment près de mon oreille, mais aucune de mes mains, agrippées à mes seins, n’est disponible pour leur faire taire. Je sens monter une vague puissante, presque effrayante d’intensité et je suis plus de désireuse de l’accueillir, croyez moi. Je me frotte contre les draps comme une maniaque, mes halètements se font de plus en plus saccadées, je viens finalement dans un grand tremblement qui me laisse pantelante, en sueur et abasourdie par le vacarme de la sonnerie toujours dans mes oreilles. Je ne peux pas rester avec l’oeuf toujours allumé en moi alors que je viens de jouir, mon sexe est beaucoup trop sensible. Je suis tellement trompée que je suis surprise qu’il n’ait pas déjà glissé entre mes lèvres. Après une douche rapide je file en cours. A la fin de la journée, c’est presque sans y penser que je me dirige vers la salle de français. ...
    ... Au pire des cas, si j’ouvre la porte pour trouver des latinistes, je dirais que je me suis trompée de salle. Lorsque je pousse la poignée, je constate que la porte est verrouillée. Il y a pourtant de la lumière. Je m’apprête à faire demi-tour quand la porte s’entre-baille sur M.Guy, qui s’écarte à ma vue pour me laisser entrer. « J’apprécie votre volonté de progrès Mademoiselle, quand bien même elle concerne une matière que vous ne présenterez pas aux concours. » Je n’ai pas le temps d’apprécier le sarcasme de mon prof. La vision qui se dresse devant mes yeux ne laisse place à aucune autre considération. A « ma » place, sur le bureau de M.Guy, R. est à demi-couché, à demi-nu aussi puisque sa chemise traîne sur le sol et que son pantalon a été repoussé sur ses cuisses. « Dresse » est sans doute un terme adéquat, au vu de l’énorme érection qu’il arbore. Il n’a pas quitté son sourire ironique. Je dirais même qu’il a l’air plutôt satisfait de ma stupéfaction. Sa verge est vraiment imposante, ce n’est pas comme vous le savez ma première rencontre avec sa virilité, mais je n’avais pas vraiment eu le temps d’observer quoi que ce soit en détail. A mon entrée, il s’est redressé sur ses coudes et m’observe en retour d’un air goguenard. Je frémis à l’idée d’avoir été conviée à cette séance de « soutien scolaire » dans le but de servir une nouvelle fois de vide-couilles à ce pédant. Figurez-vous donc ma satisfaction lorsque M.Guy, après avoir reverrouillé la porte derrière moi, prononce ...