1. Je me fais défoncer par mon oncle (9)


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Trash,

    ... ma nièce! — Oh, si tu savais… — Quoi? — Oh, rien. Et alors? Tu me racontes? — Bon… d’accord… Et elle commence à me raconter sa nuit. Au début, du bout des lèvres, mais plus son histoire avance, plus elle est volubile et plus je suis mouillée de l’entendre raconter, avec moults détails, ce qu’elle ressentait au même moment que je la regardais se faire sauter et même, défoncer par tonton Jacques. Je vois même ses tétons pointer pendant qu’elle raconte. Par chance, je porte une jupe, car si j’avais porté un pantalon, on aurait pu voir une tache sombre à mon entrecuisse. La cochonne m’excite vraiment. Je n’ai qu’une envie : la baiser et bouffer son cul et sa chatte que je devine tout aussi mouillée que la mienne, à cause de son récit. Patience, ça viendra en temps et lieu. Je finirai par la baiser, avec tonton Jacques. C’est moi qui écarterai ses fesses pour qu’il l’encule pour la première fois. Et quand il giclera sur son trou du cul, je lécherai tout ce foutre chaud en enfonçant ma langue dans le trou élargi par la grosse bite de mon tonton adoré. Mais pour le moment, je dois partir. Je prétexte des courses à faire. Si je reste, j’ai peur de ma réaction. Je pourrais lui sauter dessus, arracher son t-shirt pour pouvoir lécher ses gros tétons ou bien, baisser son jean ajusté et lui bouffer le cul. Quoi qu’il en soit, elle jouirait sous mes coups de langue la salope! Cette cochonne ne se rend pas compte à quel point elle m’excite avec ses airs innocents. On se fait la bise, un ...
    ... petit câlin, pendant lequel je sens sa grosse poitrine s’écraser contre la mienne. Mon sang bouillonne. Il faut que je parte! — Mais qu’est-ce que tu as ma chérie, tu es toute rouge… — Rien, une chaleur passagère. Au revoir tante Émilie. — Au revoir ma belle Sandrine. Ma belle Sandrine? Elle me cherche ou quoi? Et si, elle me voulait elle aussi? Et si, elle rêvait de me brouter la fente? Peut-être qu’elle n’a qu’une envie : m’enculer avec sa langue? Ou que moi, je l’encule avec ma langue… Peut-être qu’elle se masturbe en pensant à moi? En tout cas, moi, je me branlerai en pensant à elle. C’est déjà commencé d’ailleurs, depuis hier soir… Je reprends mes esprits et je me parle à moi-même : Sandrine, tu n’es vraiment qu’une salope!! Le sexe et les saloperies occupent toutes tes pensées, toute la journée. Tu n’en a jamais assez? Non! Pour le moment, j’ai hâte d’arriver chez-moi, de me caresser la chatte et de me goder le cul et de discuter sur Facebook avec tonton Jacques, pour lui transmettre la nouvelle saloperie que j’ai en tête. Je passe mes journées à échafauder des plans pour baiser de façon spéciale et surtout, avec le moins de moralité possible. C’est comme ça qu’une salope de mon calibre pense. La baise ordinaire n’a plus sa place dans mon esprit pervers. Même, la baise avec mon oncle est devenu presque routinière. Bien que cette « union » choquerait sûrement le sens moral de bien des gens, pour moi, c’est du menu fretin. J’ai besoin de trucs bien sales, bien dégueulasses ...