1. Chroniques immortelles (2)


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Trash,

    ... dernière épreuve ! Et je complète le tableau en me rendant hermaphrodite. Cette fois, c’est la terreur panique qui s’affiche sur le visage du professeur. Il jette un coup d’œil vers la porte. Mais à son premier mouvement, je me jette sur lui, le prend à la gorge, plante mes griffes dans la peau de son cou. — Tu es à moi ! Dis-je en grondant. Sa bouche est ouverte cherchant à dire quelque chose . Ses yeux sont exorbités. Une pensée à Hadès… Je plonge ma langue de lézard géant dans sa bouche, force sa gorge, descend dans son œsophage. Il panique, cherche sa respiration. Il a des nausées, il cherche à vomir, à me vomir. Ce n’est que lorsque je le sens prêt à défaillir que je retire ma langue. Il recrache un flot de bave, reprend avec peine sa respiration. Je ne lui laisse pas de répit, je le couche sur le sol. J’ai ramassé sonslip, et lui fourre de force dans sa bouche. Pas la peine qu’il ameute tout le collège ! J’attrape sa bite à pleine main et m’empale sur lui. Sa queue pénètre profondément d’un seul coup dans mon vagin, ce vagin garni de pointes acérées somme des dents ! Un terrible spasme de douleur le secoue, tout son corps se tétanise. Je m’en fiche ! Je monte et je descend lentement sur lui. Il tremble de douleur à chacun de mes mouvements. Mince ! Je sens qu’il a joui ! Alors là, on aura tout vu ! Sa queue devient flasque, je ne peux l’empêcher de se retirer de mes fondements. Mais il ne va pas s’en tirer comme çà… — Tu vas voir, tu vas aimer ! lui dis-je ...
    ... cruellement. Je le retourne comme une poupée de chiffon. Je l’immobilise malgré ses efforts désespérés pour se dégager. D’un seul coup je le pénètre, m’enfonce violemment en lui. Il essaie de crier, il essaie de se débattre. Je ne lui laisse aucune chance. Impitoyablement, je multiplie les aller et retour de ma bite que j’ai soigneusement rendue écailleuse. Je ne voudrai pas être à sa place ! Ce n’est que lorsque je le sens s’abandonner, au bord de la perte de conscience que je le libère. Je le retourne à nouveau, me met à califourchon sur lui. D’une main, je lui prend la gorge. Je laisse courir les griffes de l’autre sur son torse. Il est en larmes, pitoyable, sa queue à vif, il est mur. Je peux en faire ce que je veux. — Et maintenant écoute moi bien, dis-je en grondant. Je suis obligée de te laisser une chance d’échapper à ton châtiment. Tu as jusqu’au coucher du soleil pour aller avouer tes crimes et tes fautes auprès de la justice. Si lorsque le soleil s’est couché, tu ne l’as pas fait, alors tu seras à moi pour l’éternité et je t’emmènerai avec moi en enfer ou tu vas jouir pour quelque chose, je te le promets. Et pour que tu sois certain de ne pas avoir fait un cauchemar, je te laisse ce petit souvenir. D’un geste rapide de la main, du bout d’une de mes griffes, je lui trace à vif sur la peau un pentacle autour d’un téton, lui arrachant au passage de nouveaux gémissements de douleurs. — Jusqu’au coucher de soleil, tu m’as bien compris ? Il agite frénétiquement la tète en signe ...
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