1. Un cycliste 5


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    - Pourquoi, après avoir pardonné,me suis-je sauvé ? Tu n’en as pas une petite idée ? Pourquoi ce soir de la deuxième sortie programmée ai-je choisi de te quitter ? Tu l’as compris un peu tard. Comment, sachant où Charlene t’avait menée, à quels excès elle t’avait poussée, comment, bourrelée de remords (permets- moi d’en douter), as-tu pu décider de recommencer l’expérience huit jours plus tard? Charlene t’avait promis son cavalier pour l‘orgie nouvelle; il devait te faire connaître les sommets de la jouissance en te défonçant dans les allées du parc. En la suivant cette fois,tu savais pertinemment ce qui arriverait et même, très précisément, qui allait te pénétrer, te mettre, te posséder en long et en large et te faire gueuler de plaisir. Tu es venue me prier de t’accorder une seconde soirée de liberté en compagnie de Charlene pour aller voir un film tout récent « entre filles ». - Tu savais tout, puisque tu avais assisté à la première. Tu aurais dû me refuser cette sortie, tu aurais pu me montrer tes enregistrements et tes preuves. J’aurais écouté, j’aurais reconnu ma faute, je n’aurais pas accompagné Charlene. - J’en doute aussi. Je n’y crois pas . Ton envie de te faire embrocher aurait inventé mille façons d’échapper à ma vigilance. Et si ce n’était pas ce soir là, tu aurais cherché et trouvé une autre bonne occasion. - Tu aurais dû me mettre en garde. J’aurais compris ta peine, je n’aurais pas supporté ton chagrin, j’aurais eu trop peur de te perdre. Maintenant je ...
    ... saisis la raison de notre rupture. Ma seconde sortie a été fatale, as-tu dit ? Si j’avais refusé la deuxième offre de Charlene, tu serais resté chez nous? Mais avec quel secret sur le cœur ? Il fallait me parler. - Souviens-toi des encouragements de ta copine dans le parc, je la cite : « Tu ne voudrais pas que nous vous tenions la chandelle. Allons, apprends à vivre et à prendre des décisions de femme adulte et libérée. » Tu voulais te libérer : de qui, de quoi ? De moi et de notre mode de vie, pardi. - C’est ton interprétation. Tu fais exprès d’ignorer combien je t’aime. - Ta démonstration d’amour dans le parc ne s’adressait pas à moi. Comment oses-tu encore me parler d’amour, à moi ? Je n’ai pas à te dicter ta conduite, tu fais tes choix et tu assumes ! De mon côté je ne suis pas forcé d’applaudir quand tu t’enferres dans les pièges de Charlene. C’est définitivement une affaire classée pour moi. Je pardonnais le premier faux pas. Je ne pardonnerai jamais le deuxième. Tu peux te rouler par terre, tu es libre de recommencer à branler, à sucer, à te farcir toutes les verges de la ville, cela ne me concerne plus. Sois heureuse et fous-moi la paix. - Oh ! Tête de bois. Sais-tu comment s’est déroulé cette « deuxième fois » ? Y as-tu assisté ? Tu changerais d’opinion, tu cesserais de m’accabler. Nous voilà devant chez nous. Entre, nous serons mieux assis. Ne crains rien, la nymphomane ne te violera pas. Est-ce que je sais ce que je veux ? Je la suis. Elle se détend : - Merci d’oublier ...
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