1. Je serai la femme d'un homme riche...


    Datte: 13/08/2017, Catégories: f, fh, hplusag, Collègues / Travail fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, Masturbation pénétratio, policier, aventure,

    ... euh… Malgré la colère du policier qui l’assaille de questions, la jolie blonde continue ses explications pour le moins embrouillées, mais le commissaire ne trouve rien d’anormal dans son discours, à part ce « détail » pour le moins surprenant. Le fait qu’une mère soit étrangement sereine alors que l’on vienta priori de kidnapper ses enfants est pour le moins singulier, mais cela ne constitue pas pour autant une infraction à la loi. Après avoir mis sa ligne téléphonique sur écoute, persuadé que le ravisseur va très vite prendre contact avec Sophie, et envoyé deux de ses adjoints surveiller son domicile, il appelle un taxi et la renvoie chez elle. —ooo0ooo— Huit jours se sont passés, mais il n’y a aucune nouvelle ; ni Sophie ni la police n’ont reçu aucune demande de rançon de la part de qui que ce soit. Ce qui intrigue le plus Lemercier, c’est que, dans les affaires de kidnapping qu’il a déjà eues à résoudre, il lui a toujours fallu composer avec des mères de famille hystériques et prêtes à faire n’importe quoi pour avoir des nouvelles de leurs enfants, n’importe quoi et surtout le pire… Certes, on ne peut blâmer celle qui a peur pour son ou ses rejetons, mais il n’empêche que cela ne facilite jamais la tâche de ces représentants des forces de l’ordre qui font toujours tout ce qu’ils peuvent et généralement même un peu plus dans ces cas-là. Il a le souvenir d’une femme à qui il avait eu l’imprudence de confier son numéro de téléphone, et qui l’appelait tous les quarts d’heure, ...
    ... bloquant du même coup la ligne pour un éventuel coup de fil du ravisseur… Et là, le moins que l’on puisse dire, c’est que Sophie ne l’importune pas. Elle ne téléphone qu’une ou deux fois par jour, toujours en étant extrêmement calme, ne laissant pas pointer dans sa voix la moindre lueur d’inquiétude. De toute évidence, elle possède des informations dont personne n’a connaissance et, malgré les questions insistantes de la police, elle ne veut pas révéler son secret. Lorsqu’on lui pose la question sur son apparente absence d’anxiété, elle répond qu’elle est persuadée qu’on ne va pas tarder à réclamer une forte somme d’argent pour leur libération, et qu’on lui rendra très vite ses enfants sains et saufs. Elle n’a pas d’ennemis connus, mais son ex-mari, le père de ses enfants, est propriétaire avec son frère d’une entreprise renommée de la région, et cela se sait. Seulement voilà, les heures et les jours s’écoulent et l’éventuel kidnappeur n’a toujours pas donné signe de vie… Alors, on fouille. On fouille les environs de l’endroit où elle dit que le vol de la voiture a eu lieu, on fouille les bois, les forêts, on sonde les étangs, les rivières ; toute la campagne dans un rayon de quinze kilomètres est passée au peigne fin à la recherche d’un indice permettant de retrouver les enfants. On interroge aussi tous ceux qui pourraient avoir une petite chance d’avoir aperçu quelque chose de suspect ce jour-là, mais on ne trouve pas davantage d’indices que de témoins. Et pendant que l’on ...
«1...345...25»