Nous sommes allés au cinéma
Datte: 23/01/2019,
Catégories:
fhh,
inconnu,
cinéma,
intermast,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
lieuxpubl,
Cette expérience s’est passée en septembre. Pour Caro, cette expérience a été spécialement bien réussie car elle est tombée sur un très bon coup. Caro, à l’époque, avait 35 ans et rayonnait de beauté. Ce bon coup, Paul, en avait 22 et il débordait de phéromones. Il existait encore des cinémas qui passaient des films pornos. Nous y étions allés à la deuxième séance, celle de 22 h. Caro portait saraz-la-touffe, ce qui – à cette époque – était exceptionnellement court. En plus, une femme, même accompagnée d’un cavalier, était repérée, zieutée et surveillée car ces cinémas étaient plutôt fréquentés par des hommes. À notre demande, l’ouvreuse nous a placés au dernier rang. Caro a choisi la place à l’avant-dernier fauteuil de la rangée, laissant la possibilité à un « culotté » de venir s’asseoir à sa gauche pour tenter sa chance. En arrivant au fauteuil choisi, avec de grands gestes elle s’est sorti le blouson, ce qui a eu pour effet de laisser remonter sa jupe juste assez haut pour prouver qu’elle ne portait pas de culotte et qu’elle n’était pas un travesti. Mais lorsqu’elle a eu sorti son blouson, tout le monde a bien vu que ses deux gros biberons n’étaient pas soutenus et qu’ils n’en avaient pas besoin. Par fausse pudeur, elle fit mine d’être gênée d’avoir laissé un sein montrer son téton. En s’asseyant, Caro s’est penchée de façon à laisser largement bâiller son décolleté et montrer ainsi ses deux gros seins, avec tout le temps nécessaire pour bien regarder. Et là, j’étais ...
... sûr que tous ceux qui, aux aguets, regardaient dans sa direction, les avaient bien vus. J’avais pris Caro par les épaules et nous avons flirté. C’est à ce moment que Paul, le « culotté » en question est arrivé pour s’asseoir à la place libre sur sa gauche. Caro a fait un effort pour lui laisser le passage en se reculant sur son siège et en se penchant en avant, ce qui a eu pour effet de laisser sa jupe remonter, découvrant une fois de plus sa foufoune, et de faire bâiller son décolleté une fois de plus. Paul, bien sûr, a pris tout son temps pour passer, mais surtout pour ne rien louper du spectacle. Caro le regardait zieuter sous sa jupette et dans son décolleté, et souriait de voir l’effet que cela produisait. Il s’est assis, tout en remettant quelque chose en place dans son slip. La première partie de la séance a commencé ; Caro et moi avons flirté sagement, et il ne s’est rien passé. À l’entracte, Paul est repassé pour aller aux toilettes et acheter une friandise. À chaque passage, il a eu droit au même tableau d’exhibition de la part de Caro. Puis le film a commencé. Caro et moi avons commencé notre propre film, assurés que Paul tomberait dans le panneau. Nous avons flirtés assidûment, et cela n’a pas loupé ; cinq minutes plus tard, Caro a posé une main sur ma cuisse. Message : « Ça y est, il a commencé. Il me caresse la cuisse. » Jetant un coup d’œil, je pouvais effectivement voir qu’une main était en train de remonter la cuisse de mon épouse. Puis mon épouse a légèrement ...