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Un Patron Pervers 01
Datte: 23/01/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,
... les hanches, sa petite culotte de bikini descendit le long de ses jambes. Le nain s'installa entre ses cuisses, elle poussa un cri sourd alors que sa bite déformée plongeait brusquement dans son intimité, il ne tarda pas à projeter son infâme sève au fin fond de son utérus fertile. Le repas du soir fut plus habillé, les hommes portaient des costumes élégants et Julie une ravissante robe brune sur des hauts talons d'une élégance rare. Comme sa robe était à longueur du sol, elle n'avait pas enfilé de bas. Le repas terminé le jeune couple salua leur hôte et le remercièrent de les avoir accueilli pour ce merveilleux week-end. Pendant leur retour vers leur chambre de l'autre coté de la résidence, Jeff commentait à l'usage de sa femme : -Je crois que le patron a besoin de consulter un spécialiste du cœur! L'instant d'éblouissement qu'il a ressenti le long de la piscine s'est renouvelé lors du repas. Julie rougit comme une tomate et chercha à conserver une attitude nor-male. Mais cela lui était très difficile, ses hauts talons s'avéraient poisseux et gluants sans doute à cause de l'épaisse couche de foutre qui recouvrait ses orteils et ses plantes de pied. Julie savait pertinemment qu'il ne s'agissait en aucun cas d'une alerte cardiaque qui avait causé l'instant d'égarement du patron de son mari, elle avait savouré pleinement cet instant ou les pieds refermés sur sa bite turgescente il avait vomi son foutre sur ses orteils et ses plantes de pied. Assise sur son lit, Julie pleurait ...
... à chaudes larmes. Un mois s'était écoulé depuis son viol. L'horrible nain avait dit qu'il allait les aider à fonder leur famille, et c'était bien vrai. Il insistait la baisant à couilles rabattues pour mettre en oeuvre ses désirs. Chaque jour depuis cet ignoble week-end, le jeune employé recevait des consignes spéciales, il devait partir très tôt le matin pour ne rentrer que très tard le soir. Jérôme se pointait au domicile du jeune couple dès le départ du mari, il adorait menacer la jeune femme de révéler ses amours avec lui si elle lui refusait son lit. La jeune femme et le pervers nain passaient des jours entiers au lit, il cherchait vraiment à l'engrosser. Il semblait que la simple idée mettre enceinte une jeune femme en par-tageant son lit conjugal suffisait à le faire bander comme un âne tout en décuplant ses émissions séminales. Chaque jour, après son départ Julie se précipitait sous la douche pour y prendre un lavage vaginal. Par ailleurs elle essayait désespérément de provoquer son mari pour l'amener à l'engrosser. Mais ses longs trajets l'éreintaient et il s'avérait incapable de subvenir à ses envies de maternité. Comme elle ne supportait pas la pilule, la douche vaginale était sa seule alternative pour éviter de se retrouver grosse. Cela dura les deux premières semaines des visites du pervers nain. Elle dut reformer totalement son attitude lorsqu'il la menaça de se faire remplacer par son chauffeur noir s'il continuait à ne pas atteindre son but. De ce moment, elle ...