1. Chantal, mon épouse (2)


    Datte: 23/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... encore s'humidifier, sa cyprine maculait le haut de ses cuisses. Lui n'était pas en reste puisqu'une nouvelle érection prenait forme. Face aux vitrines, il y a des ilots de matériel en exposition, il en choisit un fait de pneus empilaient les uns sur les autres et d'une hauteur qui arrivait à la poitrine de Chantal. Il la fit mettre face à la rue, elle le supplia de choisir un endroit moins exposé, que de là, n'importe qui pouvait la voir, il n'en avait rien à faire et lui dit : d'exhiber tes cuisses toute la matinée ne t'as pas gêné, tu imagines le nombre de clients qui ce sont peut-être branlé dans leurs voitures en sortant ! où qui penseront à toi ce soir en baisant leurs femmes. Elle dû se cramponner aux pneus pour garder un équilibre quand il la plaqua, son sexe frottant sa raie fessière, elle écarta ses cuisses afin de lui donner un accès plus facile à son nid d'amour tout en exposant sa poitrine aux éventuels voyeurs. Elle se cambra d'avantage et il l'enfourcha sur son pieu dressé. Comme la veille, un son rauque sortit de sa gorge au moment où il percutait son utérus. Il resta figé en elle quelques instants empoignant ses seins, les malaxant sans douceur, il voulait lui faire mal, la punir de son audace. C'est le contraire qui se produisait, elle aimait cette brutalité et le fait d'être éventuellement vue de la rue décuplait son envie de sexe. Il entama un retrait puis un réinvestissement de cette grotte humide qui lui compressait la queue, elle accompagnait chaque ...
    ... coup de butoir au fond de sa matrice. Seul au monde où du moins dans le magasin elle ne chercha pas à étouffer les cris de contentement qui sortait de sa bouche à chaque fois qu'il martelait sa chatte. La joute dura de longues minutes, ponctuait par des insultes qui décuplaient sa libido, elle répondait par des : plus forts, encore et autres sons, par moment il lui sembla que des voitures ralentissaient en passant devant le magasin, avait il une vue sur ce qui s' y passait ? elle ne le saura jamais trop prise par le plaisir que lui prodiguait son patron et son envie de jouir. Lui qui hier l'avait sodomisé sans lui donner de jouissance vaginale comme elle l'aurait souhaité et dont elle s'était sentie frustrée. Aujourd'hui elle pouvait se laisser aller sans aucune retenue, il n'allait pas réitérer. C'est ce qui se passa, elle capitula avant lui, collée à son torse, les bras en arrière pour l'empêcher de se retirer, son orgasme retentit dans tout le magasin, pour sa part et parce qu'il avait jouit dans sa bouche plus tôt la délivrance ne venait pas. Il décida de s'extraire de cet antre baveux et positionna comme la veille son gland sur la petite rosette plissée. Il la lubrifia avec la mouille qui s'échappait du sexe de ma femme et sans résistance investit le conduit étroit. Ayant eu son plaisir, elle le laissa faire tout en se pliant à cette possession. Il ne fut pas long à venir, la contraction de ses intestins et l'étroitesse du conduit sur sa queue fit monter sa sève et il ...